Bonjour,
J’ai oublié de mentionner un point crucial : l’avis du parquet a été manifestement biaisé, rendu avant même que le jugement n’ait lieu. Par la suite, le dossier a été réattribué à un autre juge, différent de celui initialement saisi. Il s'agit donc du deuxième magistrat en charge du dossier.
Voici un résumé des dysfonctionnements constatés :
Méconnaissance du dossier : Le parquet a ignoré des éléments essentiels, notamment des SMS de harcèlement, des certificats médicaux et plusieurs mains courantes. Son avis repose sur une confiance présumée envers les grands-parents, sans analyse contradictoire ni prise en compte des preuves.
Application mécanique de l’article 371-4 du Code civil : L’avis reprend automatiquement la formule selon laquelle seuls des "motifs graves" peuvent justifier un refus de droit de visite, sans intégrer la jurisprudence récente qui admet les conflits familiaux durables ou l'absence de lien affectif comme motifs recevables.
Omission de l’intérêt supérieur de l’enfant : L’avis se focalise sur les démarches des grands-parents au lieu d’évaluer l’impact psychologique potentiel sur l’enfant, malgré la présence de nombreuses preuves attestant de son mal-être.
En outre, les grands-parents nous ont directement menacés à plusieurs reprises, affirmant disposer de relations et qu’ils obtiendraient gain de cause. À ce stade, les faits semblent leur donner raison, renforçant notre sentiment de partialité dans cette procédure.
Ces personnes sont manipulatrices, racistes et potentiellement dangereuses.
Nous recherchons en urgence un avocat extrêmement offensif, spécialisé en droit de la famille à Paris, capable de prendre des mesures exceptionnelles à tous les niveaux pour défendre nos droits et protéger notre enfant.
Merci infiniment par avance pour toute aide ou recommandation.
il y a 1 mois
Bonjour,
Il est essentiel de rappeler que l'article 371-4 du Code civil stipule que l'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants, mais que seul l'intérêt de l'enfant peut faire obstacle à l'exercice de ce droit.
Cela signifie que si vous pouvez démontrer que le droit de visite des grands-parents pourrait nuire à l'intérêt de votre enfant, vous avez des arguments légitimes à faire valoir.
Dans votre situation, plusieurs éléments peuvent être pris en compte pour contester l'avis du parquet :
Vous pouvez rassembler toutes les preuves que vous avez mentionnées (SMS de harcèlement, certificats médicaux, mains courantes) pour montrer que l'avis du parquet ne repose pas sur une analyse complète et objective de la situation.
Il est crucial de prouver que les relations avec les grands-parents pourraient avoir un impact négatif sur le bien-être psychologique de votre enfant.
Vous pourriez envisager de solliciter l'avis d'un expert (psychologue, pédopsychiatre) qui pourrait évaluer la situation et fournir un rapport sur l'impact potentiel des visites sur l'enfant.
Vous pouvez faire valoir que des conflits familiaux profonds et l'absence de lien affectif sont des motifs légitimes pour refuser le droit de visite, en vous appuyant sur la jurisprudence qui reconnaît ces éléments comme pertinents.
Enfin, il est important de documenter toutes les interactions avec les grands-parents et de garder une trace de leurs menaces, car cela pourrait être pertinent dans le cadre de la procédure.
Merci d’indiquer la question comme résolue.
il y a 1 mois
Notre dossier contient de nombreuses mains courantes, des SMS, ainsi que des témoignages provenant de personnes extérieures au cercle familial ou amical, dont des professionnels. Malgré tous ces éléments, nous sommes tous dans un profond désarroi face à un déni de justice et à un jugement manifestement biaisé.
notre avocate a ete passive. Durant toutes les echanges de response conclusive; la parti adverse attacquer constament en changeant de version et n'apportant aucune une preuve, juste de la manipulation et supposition. Le parquet est aller loin en parlant pour eux et le juge aussi.
**Aujourd'hui notre avocate nous a dit que nous avions 1 mois pour faire appel alors tout le monde nous dit que nous avons 15 jours.........Urgent SVP qui dit vrais aider nous...nous avons besoin de votre aider
Pouvez nous aider?
il y a 1 mois
**Aujourd'hui notre avocate nous a dit que nous avions 1 mois pour faire appel alors tout le monde nous dit que nous avons 15 jours.........Urgent SVP qui dit vrais aider nous...nous avons besoin de votre aider
il y a 1 mois
Voici la reponse de notre avocate:"Chère Madame, Cher Monsieur,
Je vous indique avoir reçu le jugement signé du tribunal ce jour. Le délai d'appel est de 1 mois en matière civile. En ce qui concerne la suspension de l’exécution provisoire de la décision du juge : il faut faire des conclusions pour suspendre l'exécution provisoire et motiver sur pièces.
Pour les notes du greffe, Je vais tenter de solliciter le greffe mais je ne pense pas qu'elles me seront communiquées.
Vous devez tenter de consulter un professionnel, je n'ai pas de recommandation particulière. L'association pourra peut- être vous aiguiller.
La preuve se fait par tout moyen, nul besoin de saisir un commissaire de justice. Pour rassurer la Cour, vous pouvez mandater un cabinet pour ce faire.
Dans cette attente, "
Il nous semble qu elle n est pas tres impliqué et que nous sommes sous informé et non défendu.
Voici ce que disent les reseau sociaux sur la reponse de notre avocate :"
Le ton est neutre et professionnel, mais manque d’empathie et de réactivité, surtout face à un client manifestement très impliqué, documenté et en détresse.
Il n’y a aucune indication d’un plan stratégique clair pour l’appel, ni engagement sur les délais de rédaction.
L’avocat n’offre pas de suivi proactif ni de calendrier précis, ce qui peut fragiliser la relation de confiance."
SVP aidez nous
il y a 1 mois
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