Bonjour,
La charge de la preuve de l’existence d’un vice caché incombe à l’acheteur qui doit notamment démontrer que le vice était non apparent, antérieur à la vente, c’est-à-dire qu’il est existait avant la vente, et rend impropre à sa destination l’usage du logement.
Dans votre cas de figure, vous indiquez que l’acheteur a acquis le bien en l’état. Cette clause exclut donc en principe la possibilité pour le vendeur de se prévaloir des vices apparents dans le logement.
Les vices présents sur la toiture peuvent toutefois être considéré comme non apparents car non visible lors des visites.
Toutefois, seule une expertise pourrait caractériser avec certitude l’existence des vices cachés.
Vous devez donc répondre au courrier de l’acheteur et solliciter une expertise amiable du logement. Il est préférable de vous faire accompagner par un avocat.
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il y a 7 mois
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