Bonjour,
Mon ex-compagne a contacté les pompiers, il y a 4 ans, en disant que je voulais faire une tentative de suicide.
Elle voulait me faire envoyer "2 jours en HP" (ce sont ses termes).
Pompiers ont appelé les gendarmes (c'est la loi) et elle leur a dit que je l'avais sexuellement agressée.
Ils n'ont pas donné de suite à cet épisode.
Un jour où j'avais invité ma mère et mon frère à prendre un café à la maison, ma compagne s'en est irritée et a téléphoné aux gendarmes...
Elle est descendu leur parler à l'extérieur, j'y suis allé ensuite à mon tour.
Ma mère qui ne comprenait pas ce qui se passait est allée les voir ensuite.
Ils lui ont dit qu'elle n'habitait pas là et qu'elle devait rentrer chez elle.
Lorsqu'elle leur a signalé que la mère et la soeur de ma compagne étaient assises sur le canapé alors qu'elles n'habitaient pas là non plus et qu'elle leur a demandé ce qui allait se passer, ils lui ont répondu "vous verrez bien".
A la suite de cette journée, j'ai été convoqué à la gendarmerie, interrogé alors que j'étais sous traitement médicamenteux qui altérait mon appréciation des choses, mis en garde à vue pendant 24h, jugé une première fois et une seconde en appel.
J'ai été condamné à 5 mois de prison avec sursis et fiché au figeais...
Depuis, j'ai été harcelé par les gendarmes, en voiture, à pieds dans la rue, devant mon domicile.
Une convocation pour aménagement de peine ne m'a pas été remise mais le récépissé de réception à été signé.
Le procureur s'acharne depuis des mois sur mon dossier, n'a jamais voulu entendre mon ex-compagne (qui vit toujours à mon domicile...) et qui tente de dire la vérité depuis des mois.
Elle a avoué à deux reprises ce qui s'était réellement passé à ma mère, laquelle a écrit, au procureur, un courrier qui n'a vraisemblablement pas été lu.
Toutes deux ont vainement tenté de se faire entendre par la justice.
Depuis, à cause d'un justificatif de domicile remis 2 jours trop tôt, puis quelques jours trop tard et (mea culpa) pour ne pas être allé cherché un courrier recommandé Poste qui, malheureusement, contenait une convocation chez le JAP, je suis incarcéré depuis le 6 septembre 2018 au centre de détention du Mans.
Pouvez-vous me conseiller pour obtenir que je puisse rapidement sortir de cet enfer sous surveillance électronique ?
Je risque, sans cela, de rester prisonnier jusqu'au 16 février prochain.
Je n'ai rien fait d'autre que négliger les contraintes administratives qui n'auraient jamais dû exister si une enquête avait été réalisée et si mon ex-compagne avait été entendue.
Je suis en prison et elle habite toujours chez moi (je paye loyer, factures)
Je ne peux lui interdire ma porte car elle n'a jamais accepté de retirer son nom du bail.
J'ai tenté de le faire mais elle a forcé la porte au pied-de-biche.
Les gendarmes sont intervenus mais, bien qu'ils soient conscients de mes problèmes créés par cette personne, n'ont pas donné de suite à cette intrusion.
Merci de m'aider à sortir de ce cauchemar.
Cette histoire me détruit, moi et ma famille.
Merci de vos réponses
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