Bonsoir maître,
Vous avez répondu à ma question.
Mon avocat m'a dit qu'à l'audience, le magistrat a simplement demandé à la prévenue citée si elle maintenait ses déclarations et m'avoir reconnu formellement.
La mise en délibéré est la veille du jour des faits décrits. Or il me semble que les données ne sont conservées que un an par les opérateurs.
Il s'agissait là d'une citation directe fait par mes soins, pour redaction d'une attestation dont les faits sont inexacts (441-7 cp).
J'ai fourni au tribunal mon relevé d'appels téléphoniques qui demontre bien que j'étais en communication à l'heure indiqué, et que donc, la fadette bornerait forcément sur l'antenne relais de mon quartier. J'ai aussi fourni l'expertise psychiatrique de la bénéficiaire de l'attestation, datée de quelques jours avant les faits relaté dans l'attestation, qui dit que je me serai présenté sur son lieu de travail, ainsi que l'écrit de son conseil qui indique que sa cliente ne comprenait pas comment j'ai pu avoir sa nouvelle adresse de travail, alors quelle n'avait commencé à exercer que depuis 2 jours et ne s'était déclarée nulle part. J'y ai aussi joint la publication du greffe (soit 25 jours après la constitution de la société de l'intéressée)
il y a 1 an
Bonjour,
Il se peut qu’au vu de ces premiers éléments le tribunal puisse accéder à votre demande mais sans certitude.
S’agissant des données, elles sont effectivement conservées un an.
Je vous remercie de bien vouloir indiquer si j’ai répondu à votre question en cliquant sur le bouton « Oui. Merci ! ».
Bien cordialement