Bonjour,
Je suis en instance de
divorce.
J'ai déposé plainte à l'encontre de mon mari pour faits graves en juin 2023.
J'ai vu le médecin des UMJ qui ne pouvait rien constater (étant alors séparée de fait depuis 5 mois) puis la psy des UMJ qui conclue qu'il n'y a pas d'impact entre les faits dénoncés et mon état psychologique.
Nous avons débriefé par téléphone après que j'ai eu connaissance du rapport et elle était bien désolée de ce que je lui disais.
J'ai déposé une nouvelle plainte suite à notre passage au JAF pour atteinte à correspondance etc.
Je compte rouvrir la première plainte qui a été classée puisque je n'avais rien transmis comme éléments de preuve pour appuyer mes déclarations et que la police ne me les a pas demandés.
Les violences se perpétuent dans le cadre de la séparation et j'estime ne pas avoir été entendue au niveau de l'impact psychologique notamment aux vues de mes antécédents en santé. Santé qui est évoqué quand cela arrange mon mari. Je suis freinée dans mes démarches car je connais le poids de la stigmatisation en santé mentale bien que rétablie de mon anorexie et j'ai peur que cela ne se retourne contre moi : mon mari n'hésite pas à transmettre des pièces médicales tronquées et non contextualisées...
Est-il (encore) possible de contester le premier rapport de la psychologue des UMJ et demander à être de nouveau entendue notamment en raison des faits nouveaux ?
Les prises de conscience (des violences...) se sont aussi faites dans le temps et plusieurs mois après mon audition j'arrive à mieux conscientiser l'étendue des violences / poser les mots.
Je suis porteuse d'une RQTH avec orientation en milieu ordinaire. Je ne suis plus en ALD. Mon ex mari me met en difficulté personnelle et professionnelle, et il est au fait de mes "vulnérabilités.
Merci de vos réponses