Mon fils de onze ans est placé abusivement depuis le mois d'avril dernier, je n'ai jamais été entendu par le juge lorsque celui ci a décidé en urgence le placement séquentiel il y a un an, placement se concrétisant au printemps passé et devenu hebdomadaire pour un an au début du mois dernier.
La demande de placement fut demandée et inscrite sur un rapport mensonger par l'éducatrice à l'époque d'aemo depuis cette première décision en total accord avec la mère auprès de qui il vivait depuis huit ans.
Les services départementaux de l'Ase dirigeant actuellement le placement de mon fils. Leurs ayant demandé quel est le PPE (projet pour l'enfant), je n'ai aucune réponse…..
Le mois dernier lors de l'audition contradictoire de prolongation lorsque j'ai pour la première fois découvert Le Juge statuant pour Enfants cette personne indiquant très autoritairement à mon fils, après l'avoir entendu de rester seul en salle d'attente me reprocha assez brusquement devant tout le monde le fait d'avoir immédiatement protégé et rassuré mon fils très sensible et fort affecté.
Mon fils a peur et est humilié en permanence se sentant perdu, il me demande de venir vite le chercher plusieurs fois par semaine, lorsque je peux lui parler au téléphone moins de cinq minutes par semaine.
Demeurant moi même avec ma compagne à plus de six cent kilomètres de mon fils, ne le voyant que très peu en total respect de la dernière ordonnance que 58 jours par an lors de la moitié des vacances scolaires, ayant fait appel de cette prolongation de placement.
Alors qu'en 2011 lorsque la maman quitta sans motif le domicile par besoin de prendre l'air ne supportant plus notre enfant âgé de trois ans se sentant trop éloignée de sa famille à quarante kilomètres fut hébergée à plus de quatre vingt kilomètres par son père très ami avec l'ancien Garde des Sceaux de la République, sénateur en retraite ex président du conseil général de la région où nous vivions.
La résidence de mon fils m'ayant été confié et décidé chez moi lors de la première audience auprès de la première JAF, six mois après lors de la seconde audience auprès d'une différente seconde JAF, celle-ci proposa des investigations, qu'elle ne respecta pas du tout, décidant moins de dix jours après et sans motif le changement de résidence pour notre enfant.
Premier appel où il fut demandé une expertise psychiatrique pour moi, la maman et notre fils, convoqués après quatre changements d'experts ce rapport fut remis à la cours d'appel deux ans après sa demande.
Le résultat de cet appel mon fils représenté par une avocate, n'indiqua qu'une diminution de la pension alimentaire que je versais à la maman depuis le changement de résidence de notre enfant.
Après quatre ans d'un suivi administratif éducatif par l'Ase, l'inspectrice déclara l'impossibilité de corriger la situation, auprès du procureur de la république et du juge pour enfant.
Première audition auprès du juge pour enfant celui-ci décida la continuité pendant un an (deux fois six mois) de l'Aemo, confiant à un nouvel organisme cette tache.
Seconde audition auprès du même juge pour enfant reconduisant en changeant d'organisme cette même décision d'Aemo aboutissant six mois après auprès d'un nouveau juge pour enfant au placement d'urgence de mon fils, qui rapporte exactement 32 848, 80 € au foyer l'accueillant sans compter ce que le conseil départemental lui aussi reçoit des fonds supplémentaires.
Mes demandes d'explications (sur l'état et le comportement sous influence de mon fils découvrant cette année le Collège) auprès du chef du service éducatif du foyer où réside mon fils, rencontrent la réponse permanente: " je ne sais pas ", on vous recontactera, ce chef de service me conseillant de déposer plainte contre ce foyer, que je ne serais pas le premier ni le dernier à le faire...
L'Ase responsable ne me répond jamais me convoquant par mon éloignement avec pour projet de me retirer l'autorité parentale, oralement indiqué par le responsable du département de l'Ase promulguant le motif de contre venir en permanence à leurs soi disant conseils m'aliénant de mon fils grâce à leurs effectifs se permettant sans me connaitre ni m'avoir jamais vu de m'ordonner par téléphone les démarches à suivre.
Merci si c'est possible de m'indiquer comment légalement être en mesure d'annuler ces décisions, où lors des audiences contradictoires il n'y a jamais eu présence de greffier, non considéré comme vice de procédure, ainsi que le fait de ne pas avoir été entendu par ce juge pour enfants à sa première ordonnance de placement séquentiel ayant eu six mois pour me convoquer, absent de la première audience où la décision de placement fut décidée, du fait de la grève des trains, jamais convoqué alors qu'il est écrit sur les articles de lois correspondants qu'il est obligatoire d'entendre les parents quinze jours après notification de la décision prise en urgence comme il est indiqué sur l'ordonnance.
Quant à l'avenir de mon fils actuellement totalement perdu, me disant sa crainte et la peur avec laquelle il s'endort en pleurant tous les soirs, où au pire comment corriger cet enfer avec calme et pondération, ne voulant pas perdre mon seul enfant, sachant moi même professionnel dans le domaine pédagogique pour adultes, comment rassurer et préparer mon enfant pour son avenir réparant l'énorme carence affective dont il souffre depuis ses trois ans et demi. Espérant vite recevoir vos conseils et solutions, merci bien d'avoir lu ma demande de conseil.
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