Merci pour votre réponse. Le problème est que :
- le locataire s’en est plaint tout au long de l’occupation du bien mais j’en étais pas avisé à cause de la mauvaise gestion de l’agence. Il a des mails à ce sujet
- il y a eu trois changements de colocataires ( août 2018 et septembre 2023) tandis que lui est demeuré dans les lieux.
- il y a eu énormément de désordres dont je n’ai pris connaissance qu’en 2023 le locataire ayant trouvé à me
Joindre sans passer par l’agence et j’ai pu alors me rendre compte de l’étendue des problèmes (humidité murs abîmés etc qui font déjà l’objet d’un premier contentieux…)
Donc je crois comme je le redoutais que nous irons au contentieux. Parce que je ne lui ferai pas entendre raison.
Merci de cette dernière précision donc
Puisqu’il s’est plaint (il me l’a joint par mail auprès de l’agence de cet état sans agir pour autant en justice…)
Il faudra donc que j’ai une bonne défense mais j’ai pour moi ma bonne foi et le fait que sa contestation ne suive que le congé
il y a 5 heures
Je réécris plus clairemen t ici :
Bonjour cher maître,
Merci pour votre réponse. J'ai quelques questions tout de même.
Il y a eu une valse de colocataires et si j'ai bien compris ça, puisque les obligataires changent (surtout en 2023, il s'est retrouvé tout seul) les délais de prescription se réouvrent à chacun de ces évènements parce que chacun de ces évènements le refont courir à zéro. Mais s'il est échu à un moment, il ne reprend pas.
Je m'explique. De 2016 à 2018 il vit avec un premier coloc. Celui ci part et est remplacé jusqu'en 2023. La question est ici : est ce qu'il y a un nouveau délai de 2018 à 2021 ? (et a priori pas à partir de 2023 puisque la prescription est acquise en 2021).
L'autre GROS problème, en consultant rapidement la JP, c'est que l'agence reconnaît régulièrement le défaut de ce mobilier minimum et donc la nécessité de la requalification (sans m'en avoir bien entendu jamais informé...).
Le locataire m'avait transmis toutes ces pièces au moment de la reprise de la gestion. Et l'agence reconnait (en 2O16, 2O18, 2020, 2022) ce défaut mais...le locataire n'en a pas profité pour agir prétendant que l'agence a agi de manière dilatoire.
Voilà a peu près le cas. Merci pour votre réponse. La question est surtout maintenant une de prescriptions et si la reconnaissance, parce qu'elle est explicite, de mon mandataire, fait chaque fois recourir à zéro le délai de prescription...
Merci encore.
il y a 23 minutes
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