Bonjour
Selon les termes du compromis, si la vente de votre bien n'était pas conclue avant le 7 mai 2025, le compromis devenait caduc de plein droit, sauf renonciation expresse de votre part à cette condition.
Concernant la mise en demeure envoyée par la notaire, il est effectivement surprenant qu’elle vous demande de justifier l’obtention ou la non-obtention de l’offre de prêt alors que la caducité du compromis semble déjà actée par le non-respect de la condition suspensive principale.
En principe, cette demande aurait dû être formulée par le vendeur, comme stipulé dans le compromis.
Toutefois, il est possible que la notaire cherche à clarifier la situation avant de considérer définitivement le compromis comme caduc. Pour éviter tout litige, il serait prudent de répondre à la mise en demeure en rappelant que la caducité du compromis découle du non-respect de la condition suspensive relative à la vente de votre bien, et non d’un défaut d’obtention du prêt.
Si le vendeur tente de contester la caducité du compromis ou d’exiger des indemnités, vous pourriez envisager de consulter un avocat spécialisé en droit immobilier pour défendre votre position.
Je me tiens à votre disposition pour vous conseiller et vous assister
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il y a 1 jour
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