Depuis 2018, je pense être sous le coup d'une ordonnance pénale qui à ce jour ne m'a jamais été notifiée. Malgré mes demandes au procureur, celui-ci ne me répond pas. Les plaintes que j'ai cherché à déposer dans divers affaires sont refusées par les services de police et lorsqu'elles sont adressées au procureur elles sont classées sans suite. Mon ex-employeur et ma famille cherchent à me faire suivre des soins psychiatriques en cherchant à obtenir de la justice une injonction de soin. Les avocats refusent de prendre ma défense, et mes droits ne sont pas respectés. Dans le cadre d'un divorce, le principe du contradictoire n'a pas été respecté, les mesures de séparation n'ont pas prévu la répartition des charges du ménage, seul l'autorité parentale à été pris en compte dans le cadre de l'once et la garde des enfants. Je suis à la rue et mes revenus actuels ne me permettent pas d'assurer une défense de mes intérêts, bien qu' ayant une AJ à 55% l'avocat refuse de la prendre en compte et me demande de signer une convention d'honoraires sous prétexte que la procédure en
divorce est pendante devant une autre juridiction (albi) qui pourtant relève de la cour de la d'appel de Toulouse et donc l'AJ ne serait pas valable. En outre, il y a un volet pénal dans ce dossier en divorce mais elle refuse de s'occuper de cet élément du dossier ni de celui de l'expulsion du domicile conjugal. Je ne sais pas comment parvenir à me défendre sans assistance juridique. Pourriez vous me venir en aide sur ce plan et me dire s'il est vrai que votre confrère ne peut plaider devant le JAF d'Albi alors qu'elle est sur le barreau de Toulouse car L'AJ ne le permet pas. Éventuellement pourriez-vous, prendre les affaires juridiques que je tente de diligenter depuis 3 ans, elle vise les domaines du civil, du pénal et de l'administratif.