Bonjour,
Dans ce cas, plusieurs éléments doivent être pris en compte.
L'aménagement d'un jardin d'agrément sur une partie commune nécessite l'accord de l'assemblée générale des copropriétaires, conformément à l'article 30 de la loi du 10 juillet 1965.
Si cette autorisation a été accordée, elle doit être respectée tant qu'elle est en vigueur.
Si des fuites ont été constatées et que des frais de réparation ont été engagés, il est essentiel de déterminer si ces travaux étaient conformes aux normes (DTU) et si le copropriétaire a respecté les conditions de l'autorisation.
En cas de non-respect, la responsabilité pourrait être engagée.
Le vote en assemblée générale pour retirer le privilège d'aménagement du jardin d'agrément pourrait être contesté si le copropriétaire estime que cela porte atteinte à ses droits acquis.
Toutefois, la majorité des voix peut décider de modifier les règles d'usage des parties communes, tant que cela respecte les dispositions légales.
Si le copropriétaire a porté plainte contre le syndic, il pourrait envisager une action en justice pour faire valoir ses droits.
Cependant, il devra prouver que l'assemblée générale a agi de manière illégale ou abusive dans sa décision.
Je vous recommande de consulter un avocat pour examiner les détails de la situation, notamment les décisions prises en assemblée générale, les conditions de l'autorisation initiale, et les responsabilités liées aux travaux effectués.
Cela permettra de déterminer la meilleure stratégie à adopter pour défendre les intérêts de la copropriété ou du copropriétaire concerné.
Je reste à votre disposition si vous avez d’autres questions.
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il y a 2 heures
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