Ça ne correspond pas à ma demande
il y a 1 jour
Bonjour,
Oui, l'assurance est malheureusement dans son droit.
La quasi-totalité des contrats d'assurance automobile en France, y compris les contrats "tous risques", incluent une clause d'exclusion de garantie pour les cas de conduite en état d'ivresse ou sous l'emprise de stupéfiants.
Voici pourquoi l'assurance est en droit de réclamer cette somme :
Le principe de l'exclusion de garantie : Le contrat d'assurance est un accord entre vous et l'assureur. En cas de non-respect de certaines conditions (comme la conduite sous l'influence de l'alcool, qui est une infraction grave), l'assureur a le droit de ne pas garantir le sinistre, même si vous payez vos primes.
La restitution des sommes versées : Si l'assureur a versé une indemnisation sans avoir toutes les informations sur les circonstances de l'accident, il est en droit de revenir sur sa décision et de réclamer la restitution des sommes versées, une fois qu'il a pris connaissance du taux d'alcoolémie. Le fait que vous ayez cédé la voiture à l'assurance ne change rien à l'application de cette clause.
La "Responsabilité Civile" : Le seul point où l'assureur ne peut se soustraire à ses obligations initiales est la Responsabilité Civile. C'est la garantie qui couvre les dommages causés aux tiers (les autres voitures impliquées, leurs passagers, les biens endommagés). L'assurance est obligée de payer les victimes, mais elle a le droit de se retourner contre votre conjointe pour lui réclamer le remboursement de l'intégralité de ces sommes.
En résumé, la demande de remboursement des 3 000 € est fondée sur une clause légale et standard de votre contrat. Votre conjointe est considérée comme responsable du sinistre au sens des conditions générales de son contrat d'assurance.
Il est recommandé de prendre contact avec votre assureur pour obtenir une copie des conditions générales de votre contrat et pour discuter des modalités de remboursement. Si les sommes sont très importantes (dommages à des tiers), il pourrait être pertinent de consulter un avocat spécialisé en droit des assurances.
Merci d'indiquer que j'ai répondu à votre question en cliquant sur le bouton vert de ma réponse.
Bonjour
Cependant, la cession étant intervenue avant l'indemnisation, cela fait double peine. En effet le véhicule était économiquement irréparable mais pas techniquement.
Si l'assurance, pourtant informée par lles gendarmes nous avait informés de la non indemnisation, nous nurikns pas opté pour la cession d véhicule.
il y a 1 jour
Cliquez ici pour ajouter un commentaire