Je vis depuis plusieurs années une situation matrimoniale des plus pénible, car mon épouse légitime, qui n'éprouve pour moi que haine et mépris, ne réside plus depuis longtemps dans notre résidence principale, dont j'ai la jouissance partielle tout en n'étant pas légalement le propriétaire. La propriété de notre maison revient conjointement à elle-même et un de ses amis selon une procédure d'achat en indivision à laquelle j'ai fini pour différentes raisons à souscrire (y compris du point de vue financier) en contrepartie de quoi le
ne s'opposait à ce que nous résidions sous le même toit <à l'amiable>. Ce qui a permis ce c'est d'une part parce que la maison est constituée de deux logements distincts tous deux équipés et relativement bien séparés, d'autre part du fait que mon épouse n'y réside que très ponctuellement, de même que son ami, habitant respectivement l'un et l'autre pour leur travail à Paris et à Lyon, alors que la maison en question est située dans la Loire à Saint-Etienne. C'est en quelque sorte pour l'instant leur résidence dont je fais office de fait de et de non sans réticence parfois quand je dois prendre en charge les frais qui en découle. Mais bon c'est comme çà et jusqu'ici les choses se passaient pas trop mal malgré des tiraillements névitables et jusqu'ici heureusement très épisodiques au plan financier. Là où le bas blesse c'est que je veux et ne peux plus assumer la totalité des frais et des charges de cette maison et qu'en conséquence entre eux et moi au point d'en devenir par moment .
Ma question est la suivante : de quel droit puis-je de façon légale habiter cette maison (dont j'ai kargement contribué à l'achat sans que celà soit acté dans un quelconque document notarié) si je me retrouve un jour suite à une éventuelle procédure de séparation ou de divorce à laquelle, vous avez compris, j'ai bien du mal pour cette raison à me résoudre. J'ajoute que j'ai 72 ans, que je suis retraité et que mon épouse, plus jeune que moi de 30 ans, travaille dans l'enseignement supérieur d'où sa résidence à Paris qui était au départ pour elle une obligation contractuelle.
Je vous remercie par avance de m'apporter si c'est possible quelques lumières sur cette affaire épineuse qui me fait de plus en plus de souci. Bien cordialement votre.