J'avais un métier peu connu et très spécifique. Il est préférable que cela reste ainsi. Mais, ce qui est bon pour le public rend les acteurs vulnérables. Licencié pour faute grave, faisant par choix un travail dangereux et se moquant des lois(employeurs), additionné d'un salaire inférieur à un cariste, avec dispo permanente et avec 60h/ semaine (de nuit et non déclaré), C'est un choix que j'ai fait plus ou moins en connaissance de cause. pour aider et par éthique, code que l'on doit signer annuellement auprès des organismes. De plus, le sujet étant assez "discret"(il est facile de la deviner), il faut voir ça comme un gros obstacle.Mes connaissances m'ont toujours aidées, mais cela faisait des années qu"il y avait une épée de Damoclès au dessus de moi, ss forme d'accusations imaginaires et fausses. Le pb est que chaque personne pouvant démentir était menacé. Au moment du licenciement (faute grave),l'ensemble du personnel était menacé. D'où mon silence.Mais leur motif officiel, appelons cela de la triche volontaire, m'a amené à demander des explications. Et voilà, fin à suivre.Même si les autorité compétentes ont reproché par 3 fois au niveau régional le non respect de la loi concernant le problème que j'avais soulevé en interne, après mon licenciement.Et dans ce métier, après 3 mois, toutes les certifications, qualifications et autre, qui coûtent très cher, tout est annulé. Je suis donc considéré comme un demandeur de stage, sans expérience, et doit faire les vendanges dans pas longtemps.Début d'année, j'était encore référent technique en CNPE. Au vu de cette préparation minutieuse de l?autre parti, et des menaces, y a -t-il quelque chose à faire, sachant qu'il m'est impossible de faire le plein de ma voiture, remplissant le réservoir selon les besoins?Difficile, rajouté au contexte particulier, mais n'ayant plus la possibilité de reprendre ce métier(c'était le but), la faute grave étant le prétexte officiel, je n'ai pas grand chose à perdre. Merci
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