Une superficie de 27 hectares , salle de sport , terrain de tennis , salle de musculation avec matériel très haut de gamme, des activités comme l art plastique, la relaxation, la musique , l équitation , l horticulture , cours d anglais ou encore d aéronautisme et bien d'autres .... " chambre individuelle munie d'une douche italienne, et TV avec canal+ et frigo pour chacun des 180 pensionnaires; l image pourrait être associée à celle d'un parc résidentiel mais pourtant c est de façon moins glamour que cette Prison est décrite.
Bienvenue au centre de détention de BEDENAC en Charente Maritime.
Cet établissement pénitentiaire ne fait pas parti du registre de Stéphane Plazza et pourtant il fait la fierté des acteurs de justice pour en jeter de la poudre aux yeux.
Est on vraiment tous " Charlie" à pouvoir penser et s exprimer librement sous peine de représailles d'ordre comptable ou autres ..., une fois à l intérieur de cette enceinte carcérale?
Pas sûr, tout comme le respect de la loi d ailleurs!
" l ETAT" de soumission y est omniprésent. L établissement qui accueille entre 70 et 80 pourcents de délinquants à caractère sexuel ne laisse pas de place aux autres ...
Le parloir à l américaine permet aux enfants des familles d'y arpenter avec amusement les allées en toute innocence sans se douter des regards pervers qui se portent sur eux. Les pédophiles faisant l objet d'une interdiction d approcher des enfants y trouvent leur plein oxygène.
Le seul souci de la direction de l établissement est d orchestrer des fouilles ou "oscultations intégrales" pour y trouver des morceaux de " chit" mais les objets artisanaux à but d'utilisation sexuelle n ont plus qu à être brevetés ...
Cette direction sous couvert du juge d application des peines ( JAP ) , Mme Lefebvre Natacha , ne respecte en rien les textes de loi du dit code pénal.
Mais à quoi bon se battre, ils ont les pleins pouvoir et le font bien comprendre , normal , ce ne sont que des détenus représentants les 30 pourcents restants.
Le courrier ainsi que les conversations avec avocats sont ainsi sous contrôle " par erreur " disent ils ou simple défaut de curiosité ...?
Les rôles sont mélanges et confus.
Le respect de la loi est révolu de ce côté.
A notre époque où les médias nous arrosent de blablabla sur la prévention de la récidive, il est temps de comprendre pourquoi elle est si forte ... oui pourquoi ? A BEDENAC, aucun projet n est travaillé avec les conseillères d'insertion et de probation.
On pourrait penser que le confort illusionniste rend la détention agréable, argument principal mis en avant par ce juge d application des peines.
Mais non, c est simplement car le travail d insertion et les réels aménagements de peine conformes à la loi y sont inexistants.
Que reste t il a un homme ayant tout perdu une fois en détention ? Un foyer social ? De l assistanat ? Quelle vie ...
La machine à fabriquer du détenu voir des haineux est en route, et à de beaux jours devant elle , " l école du crime " progresse, l ETAT recrute dans l administration pénitentiaire ou police et gendarmerie.
Un aménagement de peine à quasi une fin de peine n à rien d'une thérapie de confort pour le mis en cause, mais plutôt une thérapie d autosatisfaction aux 3 conseillères d insertion et de probation de BEDENAC, les lieutenants du JAP à l intérieur de la prison.
Ce JAP dont les fonctions et surtout les résultats sont contrefaits. Le détenu subit de façon répétitive un Rejugement et cela malgré les justificatifs fournis.
Il n y a rien à faire, le JAP " Récidive " .
La règle du marche ou crève n a aucune valeur à BEDENAC, c est le brouillard complet ou seules les affaires de moeurs bénéficient d indulgence ...
Malgré plusieurs alertes, le ministère de la Justice et du conseil de la magistrature font la sourde oreille. Peut être par mesure de simplicité ? Il faut dire que les problèmes liés au " dessous de ceinture " sont présents même au plus haut niveau de l ETAT.
A tout moment les donneurs d ordre d aujourd'hui peuvent devenir les " détenus de demain "...
Alors ma question est comment faire application la loi auprès des services qui la représentent ?
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