Chère Madame, ou Monsieur,
Ecrire en majuscule rend votre propos illisible…
Vous exposez une situation où le recours à un avocat est nécessaire pour contraindre au partage.
A ce stade de blocage, la démarche amiable me semble être vouée à l'échec.
IL faut donc poursuivre la vente forcée du patrimoine, aux enchères.
Puis la liquidation de la succession avec un partage judiciaire et un compte de partage dans lequel les loyers et avantages perçus devront être réintégrés à la succession.
Mais vous n'expliquez pas pourquoi le Tribunal de Commerce est intervenu.
JE reste à votre disposition pour vous assister dans ces démarches.
Cordialement
Ariel DAHAN
il y a 5 ans
Cher Maître,
Ns vs remercions pour votre attention et vous précisons que le recours au Tribunal de Commerce
a été demandé par le notaire en charge de la suc-
cession (Mtre PROHASZKA) à l'époque 'a jeté l'éponge
de par l'attitude de la cadette (irrespectueuse).' et ne
veut plus nous assister. Cette convention permettait
aussi au liquidateur de l'ainé - faillitaire de l'Entreprise
familiale - reprise en propre - Il avait donc durant 20 ans perdu ses droits à hériter. Le dossier est clos
et il est redevenu 'in bonis' - MAIS il conteste cette
convention qu'il n'aurait lui, jamais signé - estimant que cela permettait à la cadette de choisir les biens
qu'elle convoitait....Elle dit - y compris à son avocate -
que tout lui appartient et qu'elle ne rendra pas l'argent!
Espérant avoir été plus précis - dans l'intention de
convaincre mon frère d'être plus raisonnable et d"ac-
cepter la partielle et vendre les biens pour lesquels
il n'y a pas de problème - tandis que nous devrons
retourner argumenter au tribunal, avec un avocat.
Avec nos remerciements pour votre complément de
réponse. MICHEL & (ALAIN - hospitalisé depuis 7 mois).
il y a 5 ans
Cher Monsieur, je comprends mieux la case Tribunal de Commerce, si ce n'est que je crains que le Notaire n'ai largement contribué à compliquer la situation…
La logique à présent est de mettre un terme à l'indivision en vendant le tout le plus brutalement possible, et en partageant les sommes, après reprise en valeur des loyers et avantages perçus.
Ces procédures se font devant le TGI, avec avocat obligatoire.
Je me tiens à votre disposition pour vous assister dans ces démarches qui seront hélas longues. Vous pouvez me contacter en privé à cette fin en cliquant sur mon nom et choisissant devis exclusif.
Cordialement,
Ariel DAHAN, Avocat
Cliquez ici pour ajouter un commentaire