La motivation de l'arrêt d'appel est que les juges de première instance firent bien de déclarer coupable l'accusé (l'avocat général demanda sans argument la confirmation de la peine; l'avocat qui m’accompagna me dit après l'audience que l'avocat général n'eut "aucun argument", je ne rêve donc pas en disant cela) et que ce dernier n'a pas une "prise de conscience insuffisante. ", quand bien même il ne fut rigoureusement prouvé que je fis une victime.
Ils écrivirent cela car durant l'audience j'ai répondu une simple vérité qui allait contre le parti pris du tribunal.
Bref, confirmation sans argument, sans vrai débat, justification après coup (le jugement fut rendu deux mois plus tard) dans un procès verbal comme je l'ai dit bourré d'erreurs sur les faits.
Le passage "sur la culpabilité" est totalement fallacieux.
La chronologie que j'ai établi contient en effet maints faits inconnus du tribunal correctionnel, vu que l'enquête écarta tout fait questionnant l'accusation, et que, n'ayant eu droit à un débat contradictoire, je ne fus libre de mettre en lumière des faits de nature à faire douter de ma culpabilité.
il y a 4 ans
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