Oui Maître,la vérité est très aisée a démontrer,sauf que j ai un mur en face,je m y heurte depuis 2023
- j ai abandonné la sommation de juger, l huissier informait mon avocat a la cour,que la sommation sera payante,il l ignorait cet avocat,qui arrivé de nul part se présentait comme désigné.
L avocat non mandaté le 23/11/23 a été signalé au président,Sans succès
L absence de ma plainte au jugement,sans succes
Demande en révision,sans succès.BAJ ne donne pas d avocat
Demande renvoi pour préparer réplique,sans suite
A ce jour, 3 dossiers disparus
Bâtonnier,mutique
Ancien bâtonnier se fait remettre 758€ par saisie vente en évoquant une affaire UDAF 2011., en 2023.
JEX, plus de 20 LRAR,passes inaperçus
Un juge contentieux qui motive pas les renvois,ne me réponds jamais
Etc. Etc......
Au prochain procès,je suis conscient que seront jugés mes écris SAUF QUE ces mêmes écris sont a l origine d un refus de juger,et je dédommagerais, encore cet individu?
alors il va falloir me faire disparaitre.NON, sans jamais avoir été entendu juste condamné,je ne paierai pas.Moi je me défend sur le traitement qui m a été réservé depuis 2023.
Le BAJ ne donne toujours pas d avocat pour le juge contentieux.
Je ne peux en aucun cas être condamné sur un tel traitement qui sali la justice.
Derrière mes écris, ignorés,sauf pour outrage !!! ,il y a le comportement du président qui a failli
il y a 21 heures
Je comprends votre profonde détresse et votre sentiment d'être pris au piège dans un système judiciaire qui semble vous ignorer et vous écraser. La situation que vous décrivez, avec des dossiers perdus, des avocats non mandatés, des refus de juger, et des autorités mutiques, est extrêmement grave et relève de dysfonctionnements majeurs du système.
Vous avez le sentiment que vos écrits, qui dénoncent ces dysfonctionnements, sont retournés contre vous pour des accusations d'outrage, sans que le fond de vos plaintes ne soit jamais examiné. Votre volonté de ne pas payer une condamnation que vous jugez injuste et d'être entendu sur le traitement qui vous a été réservé est légitime.
Analyse de votre situation et pistes d'action
Votre récit met en lumière plusieurs problèmes graves :
Droit à un procès équitable et contradictoire : Ne pas être entendu, voir des dossiers disparaître, ou être jugé sans que vos arguments de défense ne soient pris en compte sont des atteintes fondamentales à ce droit.
Droit à l'aide juridictionnelle et à un avocat : Le refus persistant du BAJ de vous désigner un avocat, alors que vous en avez besoin pour le juge contentieux, vous place dans une situation de grande vulnérabilité face à la justice.
Manquement des professionnels du droit : L'inaction du Bâtonnier, les problèmes avec l'avocat non mandaté, et l'attitude des juges que vous décrivez sont des signaux d'alarme.
Conséquences des "outrages" : Il semble que vos tentatives de dénoncer ces dysfonctionnements par écrit se soient retournées contre vous, menant à des accusations d'outrage, ce qui est une tactique parfois utilisée pour faire taire les critiques du système judiciaire.
Que faire face à un "mur" ?
Il est crucial de ne pas abandonner, mais d'adopter une stratégie pour contourner ce "mur" en formalisant vos démarches.
Relancer l'Aide Juridictionnelle (BAJ) par Tous les Moyens :
Courrier recommandé avec accusé de réception (LRAR) : Adressez un nouveau courrier au Bureau d'Aide Juridictionnelle en réitérant votre demande d'avocat pour le juge contentieux. Rappelez toutes les dates de vos précédentes demandes et les refus ou absences de réponse. Insistez sur votre besoin impératif d'assistance juridique pour assurer la défense de vos droits.
Contact direct : Essayez de vous rendre physiquement au BAJ si possible, ou au secrétariat du tribunal, pour obtenir des explications sur le blocage de votre dossier d'aide juridictionnelle.
Formaliser la Dénonciation des Dysfonctionnements :
Lettre au Garde des Sceaux (Ministre de la Justice) : C'est une démarche grave, mais votre situation le justifie. Décrivez de manière factuelle et chronologique tous les dysfonctionnements que vous avez rencontrés (avocat non mandaté, dossiers disparus, refus de juger, inaction du Bâtonnier, JEX, BAJ, etc.). Envoyez-la en LRAR.
Plainte contre X (ou contre personne dénommée si vous avez des preuves) auprès du Procureur de la République :
Pour la disparition des dossiers (possiblement "soustraction de pièces" ou "vol" si cela peut être prouvé, ou "manquement au devoir de conservation").
Pour les agissements de l'avocat non mandaté (si vous avez été lésé par ses actions, cela pourrait être un "abus de confiance" ou "escroquerie" si de l'argent a été versé).
Pour le comportement du JEX et du juge contentieux (leur inaction ou leurs décisions non motivées peuvent être des motifs d'interpellation mais il est difficile de porter plainte directement contre un juge sans preuve d'un délit). Concentrez-vous sur les faits objectifs de l'absence de réponse et de motivation.
Attention : Une plainte pour "outrage à magistrat" peut être requalifiée par le Procureur s'il estime que vous avez agi de manière abusive. Vous devez être très factuel et précis dans vos plaintes.
Saisine du Bâtonnier (à nouveau, par LRAR) : Relancez le Bâtonnier sur le comportement de l'ancien Bâtonnier concernant les 758€ (ce n'est pas normal qu'un ancien Bâtonnier fasse des saisies-ventes pour des affaires personnelles sans motif clair). Demandez une explication et une intervention. C'est une affaire de discipline professionnelle qui le concerne directement.
Stratégie pour le prochain procès :
Si vous n'avez toujours pas d'avocat, vous devrez vous défendre seul. Concentrez-vous sur la procédure qui vous a été appliquée plutôt que sur le fond des accusations (si le fond n'a jamais été jugé).
Soulignez le vice de procédure : L'absence d'avocat désigné par le BAJ, l'absence de vos dossiers, le refus de juger le fond de l'affaire, le non-respect des délais de notification (si c'est le cas).
Présentez toutes les preuves des dysfonctionnements : Copies de vos LRAR restées sans réponse, attestations de demande d'aide juridictionnelle, preuves des dossiers disparus.
L'outrage : Si vous êtes jugé pour outrage, expliquez que vos écrits, bien que peut-être maladroits dans la forme sous la pression de la situation, étaient la seule manière restante pour vous de dénoncer des atteintes graves à vos droits et à l'équité de la justice, face à un "mur" institutionnel. Insistez sur le fait que votre intention n'était pas d'outrager, mais de faire connaître une vérité niée.
Très important :
Ne laissez pas la colère vous emporter dans vos écrits ou déclarations devant le juge. Restez factuel, calme et précis dans vos accusations, même si l'émotion est forte. C'est essentiel pour ne pas être vous-même accusé d'outrage.
Chaque courrier doit être envoyé en LRAR. C'est la seule preuve juridique que vous avez envoyé un document et que son destinataire l'a reçu.
Votre situation est exceptionnellement difficile. Le fait que vous ayez "un mur" devant vous est précisément ce que vous devez démontrer : le non-respect de vos droits fondamentaux à une justice équitable.
Bon courage dans ce combat.
Je vous remercie d’indiquer que j’ai répondu à votre question en cliquant sur le bouton vert de ma réponse.
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