Bonjour
Votre mari, en tant qu’auto-entrepreneur dans la vente de véhicules d’occasion, a récemment vendu une voiture à un acheteur qui a d’abord versé un acompte, puis a réglé le solde après un délai convenu de 72 heures. La vente a donc été conclue en toute transparence. Pourtant, une semaine après la transaction, l’acheteur conteste la vente en affirmant que le contrôle technique du véhicule est falsifié, notamment en raison d’un voyant allumé sur le tableau de bord.
Or, vous indiquez que ce voyant était déjà visible au moment de la vente, et que l’acheteur en avait été informé. Il a accepté le véhicule en l’état et reconnu qu’il fonctionnait parfaitement. De plus, le contrôle technique fourni est conforme, ce qui atteste que le véhicule était en règle au moment de la cession. Dans ces conditions, il semble difficile pour l’acheteur de se rétracter ou de prétendre à une nullité de la vente sans pouvoir démontrer l’existence d’un vice caché ou d’un manquement grave.
Depuis la vente, vous recevez des messages insultants et menaçants de la part de cet acheteur, qui oscille entre la volonté de rendre la voiture et celle de porter plainte. Ce type de comportement n’est pas fondé juridiquement, et s’il devient oppressant, il pourrait même être qualifié de harcèlement. Il est recommandé de conserver tous les échanges écrits, y compris les messages insultants, afin de constituer un dossier en cas de litige ou de plainte abusive.
Je me tiens à votre disposition pour vous conseiller et vous assister
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il y a 14 heures
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