Bonjour Maître et merci pour votre retour.
En réponse à votre question, j'ai confiance en mon avocat dont ses dernières écritures expliquent clairement qu'il n'était pas de l'appréciation souveraine du Juge de la Cour d'appel que d'ignorer les pièces qui démontraient la faute de la partie adverse. Que ce Magistrat pouvait les contester, les accepter, mais pas les ignorer.
Mais expliquer par écrit la méprise du rapporteur est plus facile que l'expliquer oralement devant lui.
Il est dans la nature humaine des personnes civilisées et instruites de ne pas vouloir froisser une personne qui se serait trompée.
Surtout si cette personne est un Juge et que l'on est un avocat qui se trouve être régulièrement en contact (professionnellement parlant) avec ce Magistrat. Et il est à noter que mon avocat ne sera pas plus, ni moins payé que j'ai gain de cause ou que je sois condamné à tort.
Quant à ma volonté de présenter par moi-même mes observations orales, je pense que, en raison de mon métier d'enseignant, j'arriverai mieux que mon avocat à atteindre le coeur de ces Juges. Mon Conseil se chargera d'attendre leur esprit.
Mon problème reste donc entier: Comment arriver à avoir la parole durant 1 minute le 15 octobre?
Maître BODIN, dans le cas où vous auriez vos entrées à la Cour de Cassation et que vous fassiez que je puisse m'exprimer durant cette minute ce jour là ... je vous offrirai un café (de la Réunion).
Bien à vous.
il y a 1 mois
Là, vous posez une question à laquelle aucun avocat n a la réponse définitive : si tous les magistrats sont des hommes ou des femmes, si tous les hommes et les femmes ont un cœur, est ce que fela emporte forcément que tous les magistrats ont un cœur? Sans doute mais alors ont ils un coeur de magistrat ou un coeur tendre prêt à s émouvoir, l un étant peu compatible avec l autre. Je vous laisse méditer sur cette question et vous souhaite d avoir votre minute d éloquence.
La question est elle résolue ou plutôt avons fini nos échanges sur votre question? C est à vous de le décider.