Cher Maître,
Lors de l'ONC, des attestations mensongères ont totalement déterminé l'ONC.
J'ai deux question (si vous les acceptez)
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1) l'une correspond à la manière dont ça c'est passé
- j'ignorais l'existence (même) de ces attestations : mon avocate me les ayant dissimulées (et m'ayant envoyé un mail le soir après l'audience pour me dire de venir les récupérer le lendemain, explicite et sans ambiguïté) ET DE SURCROIT ne les ayant pas lues elle-même (et aucune allusion pendant l'audience).
- après l'ONC (terrible et grave), elle m'a dit de NE PAS FAIRE APPEL.
(quand j'ai compris qu'il fallait, c'était trop tard: trêve des confiseurs, personne de joignable).
QUESTION: quelques graves que soient les conséquences, est-ce quelque chose dont il faut tenir compte dans ma démarche au moment de l'assignation en divorce, ou plus généralement pour me défendre?
Ou est-ce que les JAF et juges à venir ne seront pas concernés ni intéressés?
(Étant entendu qu'aussi infecte soit une telle tromperie, je n'ai DU TOUT l'intention de me reporter en civil contre mon ex-avocate pour de présumés préjudices: ma SEULE PRÉOCCUPATION est ce
divorce - en l'occurrence pour mes enfants que j'ai élevées quasi totalement seul depuis le jour de leurs naissance en étant père au foyer RÉEL à 100% et homme au foyer RÉEL à 100%.)
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L'autre QUESTION correspond aux attestations elles-mêmes :
il y en a SEPT, toutes avec des accusations (10,20,30 même, sous forme de vraies listes) certes saugrenues parfois souvent très graves, ET QUI ONT TOUTES ÉTÉ mentionnées explicitement dans l'ONC par la JAF pour se justifier. ordonnance.
Dois-je porter plainte (auprès du procureur de la République) SIMULTANÉMENT contre les SEPT personnes, ou puis-je le faire l'UNE après l'AUTRE?
Effet, c'est tellement douloureux à faire, fastidieux pour moi et donc très long... Et je ne sais pas d'ailleurs si l'extinction pour un délit de 2014 est encore de 3 ans, ou si eux aussi sont passés à 6 ans bien que datant d'avant la nouvelle loi).
En vous remerciant pour avoir lu tout ça, et peut-être vos conseils,
Croyez, Cher Maitre en mes sentiments très distingués,
Michel Rousseaux
(Paris)