Harcèlement judiciaire et comportement des gendarmes

Sujet initié par looogarou, il y a 1 an - 1029 vues

Bonjour,

en instance de divorce ma femme multiplie les plaintes contre moi sous des prétextes fallacieux (soit disants "harcèlement", "violence" imaginaire, etc), elle rends compte de tous mes déplacement et correspondances à la gendarmerie (en quasi temps réel), tous mes messages, me filme et me photograhie quand elle me voit, fait des démarches incessantes de dénigrement à mon sujet et sur mes proches auprès des gendarmes (appels, auditions, plaintes, signalements, courriers...).

J'ai été menacée via un chantage de me désister d'une procédure d'appel au civil, avec la menace "d'avoir des ennuis au pénal" (chantage à la plainte), ce qui semble être le cas au vu de la multiplication des plaintes à mon encontre.

Malheureusement les mois passent et les plaintes, signalements s'accumulent avec les impact sur moi, ma vie, ma santé, mon enfant, mon travail. Le regard des gendarmes devient de plus en plus suspicieux, notamment avec des comportement qui me paraissent déplacés (voir plus bas)

1 ) Est-ce une forme de harcèlement, si oui y-a-t-il une jurisprudence à ce sujet ?
2 ) Le chantage à la plainte est-il un chantage, une menace constitutive d'un délit pénal ?
3 ) Est-ce que s'adresser à ma propre femme peut-être considéré comme du harcèlement, ça me semble un peu rigoriste comme interprétation de la loi
4 ) Est-ce que se déplacer dans la proximité géographique de la maison dont je suis propriétaire et dont ma femme a la jouissance temporairement constitue un harcèlement ? ça me semble bien abusif
5 ) N'est-ce pas déplacé de la part des gendarmes de me faire de l'intimidation, des menaces, des contrôles abusif et de multiplier les gardes à vue pour ces plaintes abusives ?

Que penser d'un gendarme qui me parle un jour d'une plainte pour harcèlement, le suivant rajoute une plainte pour violence alors qu'aucun événement n'a eu lieu ?

Est-ce constitutif d'un harcèlement, d'un délit ou d'un manquement déontologique pouvant être signalé au défenseur des droits ou à l'IGGN ?

6 ) Bien que ce ne soient pas les gendarmes qui déterminent l'opportunité des poursuites, que faire si ma femme multiplie ces démarches et que celà amène à multiplier les auditions systématiques avec gardes à vues pour chaque plainte à mon encontre. Et ça se reproduit toutes les semaines, tous les jours, que faire, c'est sans fin, ça me semble être une dérive, comment arrêter la machine infernale ?

Merci d'avance