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Partage de la vente d'une maison avec une différence d'apport
Sujet initié par BD, il y a 5 jours - 234 vues

Bonjour,

J'ai acquis une maison à hauteur de 50% avec mon ex-conjoint. Seul le montant global de l'apport (31k€) est indiqué sur l'acte d'achat.
Nous étions pacsés en régime de séparation de biens au moment de l'acquisition et aujourd'hui le PACS est dissout. Nous allons bientôt signer le compromis de vente de ce bien. Monsieur commence déjà à me dire qu'il veut récupérer ses 27€ d'apports en prouvant ce qu'il a apporté avec des relevés bancaires. Je n'ai pu apporter que 4k€ car son choix de carrière professionnelle m'a coûté 2 ans de chômage pendant lesquels je ne pouvais pas mettre d'argent de côté et d'pù mon faible apport.
Question : au moment du partage de la somme restante après avoir remboursé les créanciers, vais-je récupérer 50% de ce qu'il reste ou bien la moitié de la somme restante après récupération des apports individuels de chacun ?

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83%de réponse
Bonjour,

C'est une situation fréquente et délicate après la dissolution d'un PACS, surtout quand les apports initiaux pour un bien en indivision n'étaient pas égaux. La clé de la réponse réside dans le régime de votre PACS et la manière dont l'acte d'achat a été rédigé.

Lorsque vous acquérez un bien en indivision à 50/50 sous le régime de la séparation de biens du PACS, la loi et les tribunaux considèrent généralement que chacun est propriétaire à hauteur de sa quote-part indiquée dans l'acte d'achat, quelle que soit la contribution financière réelle au moment de l'acquisition, sauf preuve contraire explicite.

Dans votre cas :

L'acte d'achat indique que vous avez acquis la maison à hauteur de 50% chacun.

Vous étiez pacsés en séparation de biens.

Cela signifie que, en principe, au moment de la vente, vous êtes censés vous partager la somme restante (après remboursement du prêt et des autres créanciers) à 50% chacun, conformément à votre quote-part dans l'acte de propriété.

La contestation de Monsieur et la "créance entre concubins/pacsés"

Votre ex-conjoint veut récupérer ses 27 000 € d'apport et prouver sa contribution avec des relevés bancaires. Il tente de faire valoir ce qu'on appelle une "créance entre pacsés" ou une "règle des récompenses" applicable aux régimes séparatistes.

Si un des partenaires a financé plus que sa quote-part pour un bien qui a été acquis en indivision, il peut en théorie demander à récupérer le surplus qu'il a avancé. C'est le cas s'il a mis 27 000 € et vous 4 000 € pour un apport total de 31 000 €, alors que vous êtes propriétaires à 50/50. Monsieur a mis 23 000 € de plus que vous.

Monsieur devra prouver non seulement qu'il a payé la somme (avec ses relevés bancaires), mais surtout que ce paiement a été fait dans l'intérêt exclusif du bien et qu'il n'y avait pas d'intention libérale (c'est-à-dire pas l'intention de vous faire un cadeau de sa part de l'apport). C'est là que la difficulté peut apparaître pour lui.

Votre défense : L'intention libérale et la contribution aux charges du ménage

Vous avez un argument très important : son choix de carrière professionnelle vous a coûté 2 ans de chômage, ce qui a limité votre capacité à épargner et à contribuer à l'apport.

L'intention libérale implicite : Les juges considèrent souvent que les contributions supérieures d'un concubin ou pacsé à l'acquisition d'un bien commun, notamment quand il y a un déséquilibre des revenus ou un projet de vie commun, peuvent avoir été faites avec une intention libérale (c'est-à-dire comme un don ou une contribution aux charges du ménage/participation au projet de vie). Si l'intention libérale est prouvée, Monsieur ne pourrait pas récupérer la différence.

Votre situation (chômage dû à son choix de carrière) est un argument fort pour dire que cet apport plus important de sa part était une contribution aux charges du ménage et une compensation pour votre sacrifice professionnel, et non un simple prêt à récupérer.

Les charges du ménage (y compris le logement) ne se limitent pas aux dépenses courantes. Elles incluent aussi la contribution à l'acquisition du logement familial.

La présomption d'indivision par moitié : L'acte d'achat fait foi. Si vous êtes propriétaires à 50/50, il appartient à Monsieur de prouver que son apport était un "prêt" et non une participation au financement du logement familial. Cette preuve est souvent difficile à rapporter pour l'époux qui a contribué davantage, surtout si l'inégalité était connue et acceptée au moment de l'achat.

Conclusion : Ce que vous êtes susceptible de récupérer

Au moment du partage de la somme restante après avoir remboursé les créanciers :

La règle de base est que vous devriez récupérer 50% de ce qu'il reste. C'est ce que dit l'acte d'achat.

Monsieur tentera de contester cette répartition en faisant valoir sa créance de 23 000 € (27 000 - 4 000).

Votre défense sera de prouver que son apport supérieur était fait avec une intention libérale ou en contribution aux charges du ménage, compte tenu du déséquilibre de vos situations financières lié à son choix de carrière.

Il y a donc une forte chance que vous puissiez récupérer 50% de la somme restante après avoir remboursé les créanciers, sans que Monsieur ne puisse récupérer sa "créance" de 23 000 € avant le partage égal.

Que faire maintenant ?

Ne signez rien sans avis juridique .Surtout, ne signez aucun document (compromis, acte de vente) qui inclurait une clause sur cette répartition des apports sans avoir consulté un professionnel.

Avant la signature du compromis, il est impératif de consulter un avocat spécialisé en droit de la famille.

L'avocat pourra analyser l'acte d'achat, la convention de PACS, vos relevés bancaires respectifs et tous les éléments de preuve concernant vos apports.

Il pourra vous conseiller sur la meilleure stratégie pour défendre vos droits, et éventuellement négocier avec l'avocat de Monsieur avant que la situation ne devienne contentieuse.

Il préparera les arguments juridiques concernant l'intention libérale ou la contribution aux charges du ménage.

Votre situation est défendable. Ne vous laissez pas intimider par les affirmations de votre ex-conjoint.

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BD
Je vous remercie pour votre réponse claire.

Un élément me revient : la mère de mon ex-conjoint lui avait donné 10k€ pour que l'achat puisse se faire.

Cette somme devait financer un mariage mais comme nous ne voulions pas nous marier, cette somme a permis a Monsieur d'avoir un apport plus conséquent. Malheureusement, je n'ai aucune preuve de cela.

Est-ce que cela peut changer quelque chose ?
il y a 5 jours
C'est un élément important qui complexifie un peu la situation, car il introduit une tierce partie (la mère de votre ex-conjoint) et une nouvelle intention (le mariage).

Analyse de ce nouvel élément:

L'origine des fonds : Les 10 000 € proviennent de la mère de votre ex-conjoint. Cela signifie que ce n'était pas votre argent, ni directement de l'argent initialement commun à vous deux.

L'intention initiale : La somme était destinée au mariage, un projet commun à l'époque.

L'utilisation finale : Elle a servi à augmenter l'apport de Monsieur pour l'achat de la maison.

Impact potentiel sur la "créance entre pacsés" de Monsieur

Votre ex-conjoint cherche à prouver qu'il a apporté plus que vous (27 000 € contre 4 000 €) pour réclamer la différence.

Si les 10 000 € lui ont été donnés personnellement par sa mère :

Ces 10 000 € sont considérés comme des fonds propres de Monsieur.

Son apport "personnel" était donc de 27 000 €.

Votre argumentation principale restera la même : prouver que l'écart entre son apport et le vôtre (les 23 000 € de différence : 27 000 - 4 000) était dû à une intention libérale de sa part ou à une contribution aux charges du ménage justifiée par le déséquilibre de vos revenus (votre chômage lié à son choix de carrière). Les 10 000 € ne changent pas la nature de votre faible apport, ni la raison pour laquelle il a mis plus.

L'argument de "l'argent du mariage" :

Vous pourriez tenter d'argumenter que cet argent, bien que venant de sa mère, était destiné au projet commun du mariage, et par extension au projet commun d'acquisition de la maison. Dans ce cas, la destination initiale "commune" (le mariage) pourrait affaiblir sa demande de restitution de ces 10 000 € spécifiquement comme un apport "personnel" donnant lieu à créance.

Cependant, sans preuve, cet argument est difficile à étayer.

Le problème du manque de preuve

C'est là que réside la difficulté majeure : vous n'avez aucune preuve de cette conversation ou de l'intention derrière ces 10 000 €. Monsieur, en revanche, pourra prouver que la somme est arrivée sur son compte depuis celui de sa mère, puis a été versée pour l'apport de la maison.

En l'absence de preuve (écrit, témoignage, etc.), il sera très difficile de démontrer que cet argent était initialement "pour le mariage" ou que son intention de départ était autre qu'un don à son fils pour son propre apport.

Les juges se basent sur des faits prouvés. Une simple déclaration verbale est rarement suffisante.

Conclusion sur l'impact

L'existence de ces 10 000 € et leur origine ne changent pas fondamentalement la nature de votre défense :

Vous restez propriétaire à 50% de la maison selon l'acte.

Votre ex-conjoint devra prouver sa créance, c'est-à-dire qu'il a bien apporté 27 000 € et que cette somme n'était pas une contribution aux charges du ménage ou un don implicite.

Votre argument principal reste solide : le déséquilibre de vos apports est lié à la contribution aux charges du ménage et à votre situation de chômage due à un choix de vie commun. Ces 10 000 € ont juste augmenté le montant total de son apport, mais la nature de l'écart (23 000 €) et les raisons de cet écart demeurent.

Cependant, il est possible que votre ex-conjoint utilise ces 10 000 € pour renforcer son argument selon lequel il a personnellement mis plus d'argent. Il pourrait dire que même les 10 000 € n'étaient pas pour vous.

Il est absolument crucial d'aborder ce point avec votre avocat.

Votre avocat pourra évaluer si cet élément (les 10 000 € de la mère) pourrait affaiblir votre argument sur l'intention libérale ou la contribution aux charges du ménage.

Il cherchera si des éléments indirects peuvent étayer votre version (ex : des conversations écrites, des témoins du don et de son intention initiale, le contexte général de vos finances à l'époque).

Même sans preuve directe, le fait que l'apport disproportionné ait été fait alors que vous étiez dans une situation de chômage liée à un projet de vie commun reste un argument fort devant un juge. Les juges apprécient souvent la solidarité familiale et la contribution aux charges du ménage de manière large dans les couples non mariés.

Ne laissez pas cet élément vous décourager, mais assurez-vous que votre avocat en soit pleinement informé pour qu'il puisse anticiper la stratégie de votre ex-conjoint et préparer la meilleure défense possible.

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il y a 5 jours
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Maitre Abraham ASSESSO
Inscrit au barreau de Hauts-de-seine - Nanterre
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Bonjour,

En régime de séparation de biens, chacun est propriétaire de sa part selon ce qu'il a effectivement apporté ou financé. Cependant, si l'acte d'achat indique que vous êtes copropriétaires à 50% chacun, cela signifie que légalement vous détenez chacun la moitié du bien.

Au moment de la vente, la somme totale sera partagée en parts égales sauf disposition contraire. La question de la restitution des apports peut être complexe, car :

* Si l'apport initial est considéré comme un prêt entre vous deux, il peut y avoir remboursement différencié.

* S'il n'y a pas d'accord préalable sur une compensation liée aux apports, la règle s'applique sur la base des parts (50%-50%).

* En l'absence d’accord ou de clause particulière, la vente sera répartie à parts égales, même si les apports étaient inégaux.

Il est conseillé de formaliser par écrit tout arrangement relatif à la restitution des apports avant la vente, afin d’éviter les conflits. Sinon, en cas de litige, il faudra saisir un juge pour trancher.

Merci de valider ma réponse.
BD
Je vous remercie pour votre réponse.

Dois-je comprendre que si Monsieur réclame à récupérer ses 27k€ et que je m'y oppose, alors le partage de la somme de la vente n'aura pas lieu et donc l'argent sera bloqué chez le notaire ?
il y a 5 jours
Oui, c'est exactement ce que vous devez comprendre.

Si votre ex-conjoint réclame de récupérer ses 27 000 € d'apport et que vous vous y opposez (ce qui est votre droit), le notaire ne pourra pas procéder au partage de la somme de la vente.

Pourquoi l'argent serait-il bloqué chez le notaire ?

Désaccord sur le partage : Le rôle du notaire est d'établir l'acte de vente et de répartir le prix de cette vente entre les vendeurs. Si les vendeurs (vous et Monsieur) sont en désaccord sur la répartition, le notaire ne peut pas trancher. Il n'a pas un pouvoir de décision.

Fonds séquestrés : Dans une telle situation de désaccord persistant, le notaire sera obligé de séquestrer les fonds de la vente. Cela signifie qu'il gardera l'argent sur un compte spécifique (compte séquestre) en attendant qu'un accord soit trouvé ou qu'une décision de justice intervienne. L'argent ne vous sera pas versé, ni à vous, ni à Monsieur.

Conséquences :

Blocage des liquidités : Vous n'aurez pas accès à votre part de la vente tant que le litige n'est pas réglé.

Procédure judiciaire inévitable : Si vous et Monsieur ne parvenez pas à un accord amiable, la seule solution sera de saisir le Tribunal Judiciaire. Vous devrez alors chacun présenter vos arguments et vos preuves (sur l'intention libérale, la contribution aux charges du ménage, ou la créance) au juge, qui tranchera sur la répartition de la somme.

Coûts et délais : Une procédure judiciaire est longue (plusieurs mois, voire années) et coûteuse (honoraires d'avocat, éventuels frais d'expertise).

Ce qu'il faut retenir

Votre opposition est légitime et basée sur les arguments que nous avons discutés (l'acte de propriété à 50/50, l'intention libérale, la contribution aux charges du ménage en raison de votre chômage lié à son choix de carrière).

Mais cette opposition, si elle persiste et qu'aucun accord amiable n'est trouvé, mènera au blocage des fonds chez le notaire et nécessitera une intervention judiciaire pour débloquer la situation.

C'est pourquoi il est crucial que votre avocat intervienne le plus tôt possible pour tenter une négociation amiable avec l'avocat de Monsieur, afin d'éviter le blocage des fonds et la procédure judiciaire. Votre avocat pourra lui expliquer les faibles chances de Monsieur d'obtenir gain de cause devant un tribunal, au regard des règles du PACS en séparation de biens et de votre situation particulière.

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il y a 5 jours
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