Bonjour
Nous allons essayer de vous expliquer de quoi il retourne, mais vous devrez nous promettre de ne pas piquer une crise de nerfs. C’est mauvais pour la santé.
Connaissant les spécialistes de l’entourloupe qui nous gouvernent, Hollande et Valls, et de la sollicitude excessive qu’ils portent aux Arabes et aux Algériens en particulier, plus rien ne devrait nous surprendre et pourtant…
Trois socialistes, Kanner, ministre de la Ville et patron de l’Union nationale du CCAS ( !), Emmanuelle Cosse, ministre ex-verte du logement et Ericka Bareigts, secrétaire d’État à l’Égalité sont les trois protagonistes de ce projet de loi qui se veut, je cite le quotidien en ligne : « une réponse législative à l’apartheid territorial, social et ethnique déploré par le premier ministre, Valls ».
L’amendement supplémentaire qui sera, donc, apporté à ce projet de loi consiste à, je cite :
« Accorder la citoyenneté française, sur simple demande de l’intéressé exprimant ce vœu, aux Algériens nés en France ou en Algérie avant le 1er janvier 1963, de père ou de mère algériens après en avoir été déchus par la loi n° 66-945 du 20 décembre 1966 modifiant l’ordonnance n° 62-825 du 21 juillet 1962, relative à certaines dispositions concernant la nationalité française ».
Nous allons démêler l’écheveau pour une meilleure compréhension de cet amendement. Pour cela, nous devons remonter au 19 mars 1962, période pendant laquelle De Gaulle, au pouvoir, avait de son propre chef, décidé dans ses déclarations gouvernementales que plus personne n’ignore, d’abandonner l’Algérie Française.
Afin que nul ne conteste sa décision qu’il allait soumettre quelques mois plus tard par référendum au peuple de France (mais pas à celui d’Algérie, premier intéressé, cependant !), il avait fait de sa propagande indépendantiste une Algérie qui coûtait trop cher à la France et, donc, à la charge des Français métropolitains et d’une démographie galopante qui ne ferait que coûter encore plus cher aux Français.
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