Je suis atteint d'une maladie psychiatrique, en état de vulnérabilité attestée par mon psychiatre.Dans ses conditions mon ex femme a demandé le divorce en 2009 et obtenu en 2012.Je n'avais pas pris d'avocat pour me défendtre à cause de ma maladie. Le juge aux AF savait que j'étais en arrêt pour invalidité maladie longue durée mais il n'a jamais sû que c'était à cause d'une maladie grave. Je n'avais aucun document car tous mes courriers arrivaient à la maison familiale occupée par mon ex-femme. Les changements d'adresse n'avaient pas été faitsMon ex-femme a fourni seul les documents et fait les déclarations souvent mensongères et parfois diffamatoires.En 2019 sous traitement renforcé, qui doit être pris à vie, j'ai eu une remission progressive. Ce nest qu'à ce monment que j'ai lu les documents du divorce pour la première fois et j'ai contaté que mon ex-épouse a obtenu une prestation compensatoire de 40 000 ? sur ses seuls déclarations mensongères. Elle n'a pas signalé son patrimoine, un appartement qu'ele louait . Elle a fourni mon indémnité pour invalidité longue maladie en 2009 de 5000 ?/mois. Mais elle n'a pas décléré mes revenus de 2012 date de la signification de jugement alors que j'étais en retraite et mes pensions de retraite étaient diminuées, 2100 ?/mois, car mes années de cotisation à la retraire étaient insuffisantes. Le juge ignorait le patrimoine de mon ex-femme et m'a condamné à une prestaion compensatoire sur ma pension d'invalidité de 2009 à la date de la requete en divorce et non sur ma pension de retraite en 2012 date de la signification de jugement. Esct ce que c'est juste ce jugement ?J'ai constaté aussi que toutes les dépenses de la maison familiale occumée par elle seule, étaient prélevées sur mes caompte bancaires alimentés par moi seul, car la banque ignorait notre
divorce.Je n'avais pas pris d'avocat par manque de lucidité. Mon ex-femme a continué d'utiliser à son profit le compte joint alimenté par moi seul et malgré notre divorce mais aussi le compte professionnel illegalement et en plus je n'avais pas de profession, en invalidité d'abord puis en retraite. Je n'avais pendant toutes cette période ni chequier ni carte bancaire ni voiture. Mon ex-femme détenait seul mes contes bancaire et les utilisait à son profit. Elle m'amenait une fois par semaine à l'hypermarché pour faire mes provsisons alimentaires. Le divorce a été prononcé définitivement en mars 2012. J'ai posrté plainte devant le juge au affaires familiales en juillet 2020.Est ce qu'il y a prescription quinquennale, sachant que j'étais en état de vulnérabilité pour maladie psychiatrique grave et que je n'ai connu les résultats du divorce qu'à partir de 2019 date de ma remission priogressive.Est ce que mon avaocat peux évoquer l'article 2224 de la procédure du code civile pour annuler la préscription quinquennale avancée par l'avocat de mon ex-épouse ?