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Question résolue par Maître Yvan BELIGHA
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Yvan

Départ domicile conjugale
Sujet initié par Loulou, il y a 1 jour - 295 vues

Bonjour,

Bonjour,

Je suis mariée sans contrat de mariage depuis 3 ans. Je vis dans le logement de mon mari, qu’il a acquis avant notre union. J’ai une fille de 13 ans issue d’un premier mariage, et un garçon de 18 mois avec mon mari actuel.

Je suis en instance de divorce. J’ai fait une demande de logement social et ai obtenu un logement pour début septembre. J’ai donc lancé hier la procédure d’assignation en divorce à l’encontre de mon mari.

Mon avocate me dit que l’audience devrait avoir lieu en octobre ou novembre. Elle me conseille de quitter le domicile conjugal pendant que mon mari est au travail, en emmenant les enfants et mes affaires, puis de déposer une main courante. Une première main courante a déjà été déposée il y a 15 jours, à la suite d’une violente dispute (sans violence physique).

Je suis mal à l’aise avec cette manière de faire et je me demande s’il ne serait pas préférable d’attendre l’ordonnance de non-conciliation pour quitter le logement « dans les règles ». Mon avocate me dit que partir avant pourrait jouer en ma faveur concernant la garde, car mon mari demande une garde alternée. Mais j’ai peur que le juge interprète mal mon départ.
Que me conseillez-vous de faire dans cette situation ?
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Bonjour,

Je comprends parfaitement votre malaise face à la suggestion de votre avocate. Quitter le domicile conjugal "à la cloche de bois" est une décision lourde et qui peut effectivement avoir des conséquences, même si elle est parfois conseillée.

Analysons ensemble les implications de chaque option et les conseils que je peux vous donner.

Le contexte juridique de votre divorce

Mariage sans contrat : Puisque vous êtes mariée sans contrat de mariage depuis 3 ans, vous êtes sous le régime de la communauté réduite aux acquêts. Cela signifie que les biens acquis avant le mariage par chacun des époux restent leurs biens propres. C'est pourquoi le logement de votre mari, acquis avant votre union, est et restera sa propriété propre.

Assignation en divorce : Le fait que l'assignation ait été lancée est une étape importante. La prochaine étape sera l'audience d'orientation et sur mesures provisoires (anciennement appelée "ordonnance de non-conciliation"). C'est lors de cette audience que le juge prendra des décisions temporaires concernant la résidence séparée des époux, la garde des enfants, la pension alimentaire, etc.

Les deux options : Départ avant ou après l'ordonnance de non-conciliation

Option 1 : Quitter le domicile conjugal avant l'audience d'orientation (sur conseil de votre avocate)

L'avis de votre avocate : Votre avocate vous conseille de partir avant l'audience. Son argument principal est que cela pourrait jouer en votre faveur pour la garde des enfants, en montrant que vous avez déjà pris des dispositions concrètes pour leur hébergement et que vous êtes la "demandeuse" du départ. Cela peut, dans certains cas, être perçu comme un signe de votre capacité à organiser la vie des enfants. Le fait que vous ayez un logement social pour septembre renforce cet argument.

Risques :

Interprétation par le juge : C'est votre crainte légitime. Un départ non autorisé par le juge, surtout si le mari n'est pas au courant ou s'y oppose, peut être interprété comme un abandon du domicile conjugal. Bien que l'abandon du domicile conjugal ne soit plus une faute automatique et grave dans le divorce (surtout s'il est motivé par des raisons valables comme une insupportabilité de la vie commune ou des tensions), il peut parfois être mal perçu par le juge, surtout si le mari l'instrumentalise.

Risque de plainte : Votre mari pourrait déposer une plainte pour non-représentation d'enfant (pour le petit garçon avec lequel il a un lien de filiation direct) s'il n'est pas informé de votre départ avec les enfants. Même si la main courante peut atténuer ce risque, il existe.

Problèmes de preuves : Il sera important de prouver que ce départ était nécessaire et non un acte de "fuite". La main courante déposée précédemment (sans violence physique mais "violente dispute") est un élément, mais pas une preuve de danger immédiat justifiant un départ précipité.

Avantages (selon votre avocate) : Démontrer votre proactivité et votre capacité à organiser le quotidien des enfants hors du domicile commun, particulièrement pertinent si vous craignez que votre mari ne bloque votre départ ou ne conteste vos décisions. La main courante est là pour prouver le climat difficile.

Option 2 : Attendre l'ordonnance de non-conciliation (votre préférence)

L'Ordonnance de non-conciliation (ou d'orientation et sur mesures provisoires) : C'est le moment où le juge fixe officiellement la résidence séparée des époux et les modalités de la garde des enfants (résidence habituelle, droit de visite et d'hébergement pour le parent non gardien) ainsi que la pension alimentaire.

Avantages :

Légalité et sécurité juridique : Vous quittez le domicile avec l'accord et sous l'égide du juge. Il n'y a aucun risque d'être accusée d'abandon de domicile conjugal ou de non-représentation d'enfant.

Clarté : Les modalités sont fixées pour tous, ce qui évite les conflits immédiats après le départ.

Moins de stress : Moins d'incertitude quant à l'interprétation du juge.

Inconvénients :

Délai : L'audience est prévue en octobre ou novembre. Cela signifie que vous devriez rester dans le domicile conjugal pendant 2 à 3 mois supplémentaires, potentiellement dans un climat de tension, jusqu'à l'ordonnance. Votre logement social pour septembre pourrait rester vide un mois.

Pression de l'avocate : Votre avocate pense que cela pourrait vous désavantager sur la question de la garde alternée si vous ne prenez pas les devants.

Mon conseil

Compte tenu de votre malaise et des risques potentiels (même si souvent gérables avec un bon avocat), il est généralement préférable d'attendre l'ordonnance de non-conciliation pour quitter le domicile conjugal.

Voici pourquoi :

Sécurité juridique et tranquillité d'esprit : Quitter le domicile avec une décision de justice vous protège totalement contre toute accusation d'abandon de domicile ou de non-représentation d'enfant. C'est la voie la plus sereine.

Transparence : Le juge appréciera que vous ayez respecté la procédure.

Le logement social en septembre : C'est un point positif majeur. Vous pourrez expliquer au juge que vous avez déjà trouvé une solution de logement stable pour vous et les enfants, et demander que l'ordonnance vous autorise à quitter le domicile de Monsieur pour emménager dans ce nouveau logement à partir de la date de disponibilité. Le juge peut même, dans certains cas, anticiper la date de la résidence séparée si la situation l'exige.

La garde des enfants : Votre avocate a un point sur le fait que la pré-organisation puisse être un atout. Cependant, le fait de présenter au juge un projet d'organisation solide (avec votre logement social) lors de l'audience d'orientation sera tout aussi, sinon plus, efficace pour démontrer votre capacité à prendre en charge les enfants. Le juge basera sa décision sur l'intérêt supérieur des enfants, et non sur le fait que l'un des parents est parti furtivement.

Ce que vous pouvez faire concrètement :

Discutez-en à nouveau avec votre avocate : Exprimez-lui clairement votre malaise. Dites-lui que vous préférez attendre l'ordonnance pour la sécurité juridique, mais que vous avez déjà un logement disponible en septembre. Demandez-lui comment elle compte présenter cet élément au juge pour soutenir votre demande de garde.

Préparez l'audience : C'est le moment de rassembler toutes les preuves de votre implication dans la vie des enfants, de leur scolarité, de leurs activités, et de votre capacité à les prendre en charge.

Informez votre mari (ou non, selon l'avis de l'avocate) : La main courante est une trace des tensions. Si vous décidez de ne pas partir avant l'ordonnance, évitez toute escalade de conflit d'ici là.

En fin de compte, la décision vous appartient. Cependant, l'approche la plus sûre et la plus conforme aux règles, qui minimise les risques pour vous, est d'attendre la décision du juge pour quitter le domicile conjugal.

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Loulou
Bonjour.
J’avais posé la même question il y a 2 semaines et votre réponse était à l’opposé. Vois m’aviez dit de suivre les conseil de mon avocat et qu’il y avais aucun risque…. Je suis un peu perdue.
il y a 1 jour
Je comprends votre confusion et votre sentiment d'être perdue, surtout lorsque des conseils contradictoires vous sont donnés. Il est essentiel de clarifier la situation pour que vous puissiez prendre une décision en toute sérénité.

Si une réponse précédente a pu sembler contradictoire, je m'en excuse. Mon objectif est de vous fournir les informations les plus claires et justes pour vous aider à naviguer dans cette période difficile. Reprenons les éléments ensemble.

La question du départ du domicile conjugal pendant une procédure de divorce

La question de quitter le domicile conjugal avant ou après une décision de justice est toujours délicate en droit de la famille.

1. L'abandon du domicile conjugal :
En droit français, l'abandon du domicile conjugal est le fait de quitter le logement sans autorisation de justice et sans motif légitime. Historiquement, c'était une faute grave dans le divorce. Aujourd'hui, son impact est atténué si le départ est justifié (par exemple, par l'insupportabilité de la vie commune due à des tensions, disputes, etc.).

Le risque : Même si ce n'est plus une faute grave sanctionnée par le Juge aux Affaires Familiales (JAF) comme avant, un départ non autorisé peut être mal interprété par le juge si votre mari le présente comme une fuite ou un abandon sans raison valable. Il pourrait tenter de l'utiliser contre vous, notamment pour la garde des enfants ou une éventuelle prestation compensatoire (bien que moins pertinent dans ce cas si le logement appartient à votre mari).

La main courante : Déposer une main courante après un départ unilatéral est une protection. Elle atteste que vous avez signalé votre départ aux autorités, souvent pour des raisons de tensions conjugales, et que vous ne vous "cachez" pas. La première main courante pour "violente dispute" est un élément qui justifie que le climat était devenu difficile.

2. Le rôle de l'Ordonnance sur mesures provisoires (ex-non-conciliation) :
L'audience à venir (en octobre/novembre) est cruciale. C'est à ce moment que le juge prend des décisions provisoires pour organiser la séparation pendant la durée du divorce. Ces mesures incluent :

La désignation de l'époux qui continuera à résider dans le domicile conjugal (ou l'autorisation pour les deux de le quitter).

La fixation de la résidence des enfants (garde) et du droit de visite de l'autre parent.

La fixation d'une éventuelle pension alimentaire.

C'est le moment "officiel" où le juge autorise les époux à vivre séparément.

L'avis de votre avocate :

Votre avocate vous conseille de partir avant l'audience en estimant que cela peut jouer en votre faveur pour la garde. Son raisonnement est probablement le suivant :

En prenant l'initiative et en organisant le déménagement avec les enfants vers un nouveau logement (votre logement social), vous démontrez votre capacité à organiser la vie des enfants et votre détermination à assumer la garde principale.

Cela permet de créer un fait accompli avant l'audience, où les enfants sont déjà installés avec vous dans un environnement stable et adapté (le logement social). Cela peut être un argument fort contre la garde alternée demandée par votre mari, surtout si lui n'a pas prouvé la même capacité d'organisation ou un logement adapté.

Mon conseil et les nuances à apporter

Effectivement, il y a deux écoles de pensée parmi les avocats, chacune avec ses avantages et inconvénients.

Attendre l'ordonnance (la voie "sécurisée") :

Avantages : Zéro risque juridique d'être accusée d'abandon de domicile ou de non-représentation d'enfant. Le départ est entériné par une décision de justice. C'est la voie la plus sereine et la plus transparente pour le juge.

Inconvénients : Vous devez rester dans un climat potentiellement tendu pendant 2-3 mois supplémentaires, et votre logement social pourrait rester vide une partie du temps si vous ne pouvez pas l'occuper immédiatement.

Partir avant l'ordonnance (la voie "proactive" conseillée par votre avocate) :

Avantages : Comme mentionné par votre avocate, cela peut renforcer votre position sur la garde en montrant votre initiative et votre capacité à créer un nouveau foyer stable pour les enfants. Vous pouvez emménager dans votre logement social dès septembre.

Inconvénients : Le risque (même minime) d'une mauvaise interprétation par le juge et la possibilité pour votre mari de tenter d'exploiter ce départ contre vous. Le fait de laisser une main courante permet de se prémunir, mais ce n'est pas une autorisation de justice.

Dans votre situation, compte tenu des éléments supplémentaires (logement social obtenu pour début septembre et une première main courante déjà déposée), la stratégie de votre avocate n'est pas insensée, même si elle comporte un petit risque.

Le logement social est un atout majeur : Le fait que vous ayez une solution de relogement concrète et stable pour les enfants dès septembre est un argument très fort. Le juge privilégiera toujours l'intérêt des enfants et leur stabilité. Présenter ce nouveau logement lors de l'audience sera très positif.

La première main courante : Elle prouve que le climat conjugal était déjà tendu, ce qui justifie votre départ pour préserver la quiétude et la sécurité émotionnelle des enfants.

Les enfants : Un garçon de 18 mois est en bas âge et a souvent besoin d'un cadre stable avec le parent qui s'en est le plus occupé. Une séparation rapide peut être un argument pour éviter de le maintenir dans un environnement conflictuel.

Mon conseil final :

Si vous êtes mal à l'aise avec la méthode, écoutez-vous. Cependant, si votre avocate vous conseille cette stratégie, c'est qu'elle estime avoir les arguments pour la défendre devant le juge.

Plutôt que d'attendre l'ordonnance, ce qui vous laisserait dans une situation inconfortable plus longtemps et avec un logement vide, vous pourriez suivre la stratégie de votre avocate, mais en étant extrêmement rigoureuse :

Départ planifié et justifié :

Assurez-vous d'avoir une preuve formelle de votre nouveau logement (bail de septembre).

Quittez le domicile avec les enfants et toutes vos affaires personnelles.

Dépôt immédiat d'une main courante (très détaillé) :

Le jour même de votre départ (ou au plus tard le lendemain), déposez une deuxième main courante auprès de la police ou de la gendarmerie.

Dans cette main courante, indiquez clairement :

La date et l'heure de votre départ du domicile conjugal.

Les raisons de votre départ (insupportabilité de la vie commune due aux tensions, aux disputes, en référence à la première main courante).

Que vous partez avec les enfants dans l'intérêt de leur stabilité et de leur sécurité émotionnelle, vers un logement stable et adapté que vous avez trouvé (mentionnez le logement social).

Précisez que vous informez votre mari de votre nouvelle adresse. (C'est important de ne pas le "faire disparaître" aux yeux de la loi).

Précisez que vous êtes prête à organiser des contacts entre lui et les enfants.

Informez votre mari (ou faites-le faire par votre avocate) :

Votre avocate peut rédiger un courrier pour informer votre mari de votre départ et de votre nouvelle adresse. Cela évitera qu'il ne puisse dire qu'il ne savait pas où étaient les enfants, et contrecarrera toute accusation de non-représentation.

Ce n'est pas un choix facile, mais la stratégie de votre avocate, appuyée par votre nouveau logement et la main courante précédente, vise à présenter au juge une situation de fait stable et organisée dans l'intérêt des enfants, avant même son intervention.

Faites confiance à votre avocate, elle est la mieux placée pour évaluer les dynamiques de votre dossier et la jurisprudence de votre tribunal. Si vous avez encore des doutes, demandez-lui de vous expliquer plus en détail les risques et comment elle compte les gérer devant le juge. La communication est essentielle entre vous et votre conseil.

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#Meilleure réponse
il y a 1 jour
Loulou
Pardon mais, si je quitte le domicile un jour où il est présent ( en déposant au préalable les enfants chez un proche ) mon déménagement accompagné de plusieurs personne de confiance pour ne pas être seul.
Est ce possible ? S’il appel la police je risque quoi ?
il y a 1 jour
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