Partie du domicile conjugal le 4 mai 2019, après main courante déposée au commissariat. Mon tort a été de ne pas porter plainte
J'ai demandé le divorce avec demande de pension alimentaire (là aussi un tort car insuffisamment argumenté)
L'ONC a été prononcée en juillet 2020 après 2 reports d'audience (maladie du magistrat, puis grève des avocats), ONC qui m'est très défavorable car les revenus de Mr retenus à la baisse et qu'il est noté une perte de train de vie pour Mr, "suite au choc du départ brutal de son épouse" ... (pour autant, Mr a continué de voyager à l'international à Saint-Pétersbourg, en Thaïlande, en Indonésie,... pour son agrément - je l'ignorais ! son avocate a évoqué le dernier déplacement en audience en ne précisant pas le cadre ... que le juge a pu supposer professionnel ! ). En aucun endroit il n'est mentionné la main courante avec mon départ pour violences conjugales ! De plus, mal conseillée, lors de l'audience, j'ai renoncé à évoquer les griefs dans le cadre de la procédure de divorce !
Je n'ai pas assigné en
divorce.
Que me conseillez-vous ?
- Assigner malgré tout et renoncer ou pas à argumenter d'une demande de prestation compensatoire (vu notre différence de revenus et de patrimoine)
- Attendre que les 30 mois s'écoulent après le prononcé de l'ONC et recommencer la procédure (soit après décembre 2022) - et me protéger par acte notarié/succession au cas où je décèderais
J'ai constitué mon dossier de dépôt de plainte à déposer chez le procureur
Je vous remercie vivement de vos conseils
Respectueuses salutations,