Donc c'est bien la caisse et le médecin traitant qui ont prescrit la mise en place d'un temps partiel thérapeutique.
Par ailleurs, il faut savoir que l'employeur n'est pas obligé de l'accepter, notamment si sa mise en place n'est pas possible.
Dans votre cas, l"employeur n'a peut être pas la possibilité d'organiser un temps partiel thérapetique de nuit.
Enfin, je ne pense pas que la reprise de travail de nuit soit une préconisation expresse du médecin du travail en ce qu'elle serait particulièrement bénéfique pour votre état de santé. Donc, il serait difficile de soutenir que votre employeur ne respecte pas les préconisations du médecin du travail.
A mon sens, on ne peut pas vous l'imposer mais se posera la question de votre indemnisation (ce point est à voir directement avec la CPAM mais en cas d'ALD, la durée d'indemnisation maximum est de 3 ans donc 1080 jours d'IJSS).
Concernant l'indemnisation du temps partiel therapeutique, vous percevrait votre salaire au prorata temporis du temps de présence et pour les périodes non travaillée des IJSS à hauteur de la réduction de l'activité.
Je vous conseille de ne pas démissionner et en cas d'impossibilité d'un mi-temps de nuit, d'accepter ce mi-temps thérapeutique en journée qui ne pourra être, dans tous les cas, plus néfaste pour votre état de santé qu'un mi temps de nuit.
Enfin, si pôssible, dans l'avenant sur votre mi-temps, demandez à votre employeur à ce qu'il soit indiqué qu'à la fin de votre mi-temps, vous devez retrouver le même poste que précédemment occupén avant votre arrêt.
il y a 2 ans
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