Bonjour
Sur la plainte pour diffamation contre le journal Vous pouvez effectivement envisager une action si vous démontrez que les faits rapportés sont faux et nuisent à votre réputation, ce qui correspond à la définition légale de la diffamation selon l’article 29 de la loi du 29 juillet 1881.
Exemples dans votre cas :
Votre adresse et votre situation personnelle sont présentées à tort,
Le journaliste affirme une condamnation (sursis probatoire renforcé) alors que vous n’avez, semble-t-il, pas reçu de notification officielle de jugement.
Attention : le délai pour agir en diffamation est très court — seulement 3 mois à compter de la date de publication de l’article (article 65 de la loi précitée). Il est donc essentiel d’agir vite.
Sur le jugement et la notification Si vous n’avez pas été régulièrement informé du jugement (par exemple, absence de notification officielle), il est possible de contester la procédure. Vous pourriez demander, via un avocat, une opposition ou un recours selon le type de jugement rendu (en votre absence ? par défaut ?).
Sur le besoin d’un avocat Vous avez tout à fait le droit d’être assisté par un avocat à tous les stades de la procédure, et vous pouvez demander l’aide juridictionnelle si vos ressources sont limitées. Cela couvrirait partiellement ou totalement les frais.
Concernant la garde à vue et l’erreur d’identification Une erreur ou une négligence dans la vérification de votre identité pourrait être soulevée dans le cadre d’une procédure globale, notamment pour faire valoir un vice ou une irrégularité, mais elle doit être documentée sérieusement.
Si vous le souhaitez, je peux vous aider à :
Formuler une plainte en diffamation structurée,
Rédiger une demande de consultation à un avocat pénaliste,
Ou trouver un formulaire d’aide juridictionnelle selon votre situation.
Merci d’indiquer la question comme résolue en cliquant sur le BOUTON VERT
il y a 2 jours
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