Faites le point avec votre Avocat si besoin, car votre exposé n'est pas clair ni suffisant pour permettre que l'on vous réponde de façon précise, vous n'aurez sur ce site que des réponses générales.
En principe, si vous êtes revenue au domicile conjugal d'un commun accord, pour reprendre la vie commune, cela veut dire qu'il y a eu une réconciliation...ce qui implique en principe que le procès n'est plus ou ne sera pas poursuivi... et que la pension accordée ne correspond plus ainsi à la situation antérieure...
Tout ceci n'implique pas pour autant que vous soyez en tort, loin de là, car vous pouvez faire à l'heure actuelle, tous les deux, ce que vous voulez, après tout.
Merci de me signaler si j'ai répondu à votre question.
il y a 8 ans
Merci beaucoup pour la réponse. Peut-être pas complètement au sens où effectivement c'est une vaste question avec un au-delà et enjeu.
Ça fait ambigu le fait de continuer à verser une pension alimentaire de surcroît conséquente.
Il faut connaître le dossier car il se sert de l'argent comme emprise.
Alors merci beaucoup, je vais du coup être réactifvers du côté de mon avocate.
il y a 8 ans
Tenez compte de mon conseil, sachant qu'à ce jour même si votre époux n'est pas tenu de vous verser quoi que ce soit, on peut après tout considérer qu'il s'agit là d'une contribution aux charges du ménage et que vous pouvez en disposer sans aucun problème.
D'après votre exposé, il semblerait qu'il ne le fasse que pour vous retenir sous son emprise, mais vous avez toujours la possibilité d'y mettre fin, et de reprendre votre liberté à tout moment .
Merci de me signaler si j'ai répondu à votre question.
Merci, vous avez répondu à ma question.
Oui en effet, une relation d'emprise est très complexe.
Ma lucidité aveugle ma fait revenir.
J'en suis responsable même si il a use de séduction. Si l'on considère la question de la pension c'est contradictoire étant donné qu'il se plaint par ailleurs de manquer d'argent et me renvoie que je dépense sans compter tout l'argent du ménage.
Dans une logique paradoxale il vise ma culpabilité et mon angoisse.
Je suis en train d'écrire un article et j'espère un jour que la justice sera en mesure d'entendre la violence morale, les coups psychiques.
La violence physique fait preuve mais la violence psychologique plus insidieuse et habile détruit, rend confus...Le déni. ..
Bon je m'arrête là.
Mais le chantier reste vaste pour les juges et avocats, éducateurs et psychologues.
Bien sûr qu'il faut fuir ou être indifférent,
mais la dépendance affective existe et du coup l'on peut se retrouver dans une impasse mortifère,
accrochée à deux faces d'un homme : bon et généreux, bien sous tous rapports et diabolique en même temps.
il y a 8 ans
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