Oui, le droit de partage de 1,1 % est bien dû si, dans le cadre du divorce, il y a partage d’un bien ou d’un patrimoine commun (par exemple un bien immobilier détenu en commun ou un compte bancaire joint).
Ce droit fiscal est calculé sur la valeur nette des biens partagés (valeur totale moins les dettes liées, comme un prêt immobilier restant dû).
Il est perçu par l’administration fiscale et réglé généralement au moment de la liquidation du régime matrimonial par le notaire.
En revanche :
Si vous n’avez aucun bien commun à partager (pas d’immeuble, pas d’épargne commune), il n’y a pas de droit de partage à payer.
Si le divorce est prononcé sans liquidation ni partage immédiat, le droit sera dû seulement quand le partage interviendra, même après le divorce.
il y a 7 heures
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