Bonjour,
Bonjour,
Avec mon conjoint nous sommes officiellement séparés depuis l'automne 2017 (ONC). Nous sommes mariés sous le régime de la communauté et nous avons une maison en commun pour laquelle il y a crédit en cours. La banque ne veut pas nous désolidariser du crédit . J'habite ailleurs et je paye un loyer. Mon mari habite la maison dont il a la jouissance et paye le crédit et la taxe foncière. Nous devions
divorcer à l'amiable et cette situation devait être transitoire. Mais il y vit finalement avec une autre femme et déclare ne pouvoir racheter ma part ni vouloir vendre la maison.
Mais la banque refuse la désolidarisation du crédit.
Mon avocate préconise de régler le divorce avant d'engager une procédure devant la justice pour régler la liquidation.
Mais je ne veux pas rester co-propriétaire de la maison où il construit une autre vie avec une autre femme. Cela me parait difficile moralement, assez indigne et je ne vois pas alors comment le contraindre à régler la soulte dans ces conditions, ni à libérer les lieux.
Je préfère quant à moi entamer une action en justice pour régler la liquidation avant de divorcer, dans le but de le contraindre à vendre (les prêts bancaires lui ont aussi été refusés).
Quels sont les inconvénients de chacune des options ? Que préconiseriez-vous ?
Merci pour vos réponses