Bonjour,
J’ai été débouté de ma demande de divorce pour altercation de la vie conjugal au motif que nous ne pouvons déposer cet forme de demande puisque madame vie encore sous le même toit .
Pourtant j’ai apporter des preuves fiables de la séparation : 1)assignation de divorce sur le le fondement de l’art :251 sans énoncer les motifs
2)ordonnance de mesure provisoire le 25 JUIN 2024
3)notification de l’ordonnance par commissaire de justice délai allant au 15 Octobre 2024au plus tard
4) conclusion de divorce sur motif 238-1
5)preuve qu madame refuse d’exécuter l’ordonnance exécutoire en refusant a quitter de sortir
6 ) preuve de trêve hivernale
7) le 4mars ;Commandement a quitter les lieu par commissaire de justice

le 12 MAI 2025 procès verbale de tentative de reprise par le commissaire de justice
9) LE 12 MAI 2025 procès verbale de réquisition de la force publique
10)contrat de logement de preuve de logement de F3
11) compte rendu de désolidarisation de compte joint depuis mars 2022
12) preuve déclaration de revenu 2024 séparée
13) témoignage d’ami témoignant de notre séparation de couple
débouté au motif que madame et moi même vivant sous le me toit cependant normalement Il est tout à fait possible de demander le divorce pour altération définitive du lien conjugal même si les époux résident toujours sous le même toit. La loi française, et en particulier l'article 237 du Code civil, stipule que "le divorce peut être demandé par l'un des époux lorsque le lien conjugal est définitivement altéré". Cette altération est caractérisée par une cessation de la communauté de vie entre les époux, qu'ils vivent séparément ou non, depuis au moins un an au moment de l'assignation en
divorce.
L'idée fondamentale de ce motif de divorce n'est pas une séparation géographique obligatoire, mais une séparation de fait et d'intention. Cela signifie que, même si le domicile est partagé, la vie conjugale au sens intime et relationnel a cessé.
Comment cela se matérialise-t-il concrètement ?
• Absence de relations intimes ou affectives : Il n'y a plus de vie de couple, de partage d'activités, de soutien mutuel comme on l'attend d'un mariage.
• Chambres séparées : Les époux ne dorment plus ensemble.
• Repas pris séparément : Il n'y a plus de moments de partage, comme les repas en famille.
• Gestion financière distincte : Les comptes bancaires peuvent être séparés, et les époux gèrent leurs finances de manière autonome.
• Absence de projets communs : Il n'y a plus de vision partagée de l'avenir ou de projets de vie à deux.
• Communication minimale ou inexistante : Les échanges sont réduits au strict minimum, souvent liés à l'organisation quotidienne ou aux enfants, sans réelle communication de couple.
Il est crucial de comprendre que ce n'est pas la cohabitation physique qui définit la communauté de vie, mais l'existence d'une vie de couple réelle et partagée. Le fait de continuer à habiter ensemble peut être dû à diverses raisons pratiques : merci de me donner votre avis je suis tenté saisir la cour d’appel
Merci de vos réponses