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Question résolue par Maître Yvan BELIGHA
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Yvan

Comment signer la convention avant le départ définitif d’un des époux ?
Sujet initié par celia, il y a 2 jours - 324 vues

Bonjour à toutes et à tous,

Mon conjoint et moi avons souhaitons engagé une procédure de divorce par consentement mutuel.

- Contrainte : il quitte définitivement la France le 15 août.

- Notre cabinet applique le processus classique : questionnaire, rédaction, envoi du projet, délai de rétractation de 15 jours, puis signature physique en présence des deux avocats et des deux époux.

- On m’a précisé que la signature à distance (visioconférence ou signature électronique) est interdite.

- Je réside en france avec un titre de séjour vie privée familiale et mon conjoint est français. Je ne sais pas comment je vais faire dans cette situation.

Questions :

Existe-t-il une dérogation ou un moyen légal d’écourter ou d’anticiper le délai de 15 jours ?

Si mon conjoint part avant la signature, peut-il donner procuration notariée à son avocat ou à un tiers pour signer à sa place ?

Faut-il envisager une signature dans un consulat français à l’étranger (avec la présence des deux avocats) ou une autre solution pratique ?

Après son départ, je ne sais pas quel serait ma situation du coup

Tous les retours d’expérience ou conseils sont les bienvenus.
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Chère madame,

Je comprends parfaitement votre situation et la contrainte de temps que représente le départ définitif de votre conjoint le 15 août. C'est une situation délicate, mais je vais vous apporter des réponses claires basées sur le droit français du Divorce par consentement mutuel.

Votre cabinet d'avocats vous a donné des informations correctes et très importantes sur la procédure.

1. Délai de 15 jours : Existe-t-il une dérogation ou un moyen légal d’écourter ou d’anticiper ce délai ?

Non, absolument pas.

Le délai de rétractation (ou de réflexion) de 15 jours est un délai légal, d'ordre public, incompressible et de rigueur (Article 229-4 du Code civil).

Il débute à compter de la réception du projet de convention de divorce par chacun des époux, une fois que ce projet est finalisé et qu'il inclut tous les accords (sur les enfants, les biens, la prestation compensatoire éventuelle, etc.).

Ce délai a pour but de garantir que le consentement des époux est libre et éclairé, sans aucune pression. Les époux doivent pouvoir relire la convention, y réfléchir posément, et s'assurer qu'ils sont toujours d'accord sur toutes les modalités.

La signature de la convention ne peut intervenir qu'à l'issue de ce délai de 15 jours.

Il n'existe aucune dérogation possible à ce délai. Tenter de le contourner invaliderait la procédure et le divorce serait nul.

2. Si mon conjoint part avant la signature, peut-il donner procuration notariée à son avocat ou à un tiers pour signer à sa place ?

Non, absolument pas.

C'est un point très clair et essentiel de la loi : les époux ne peuvent pas donner mandat (procuration) à quelqu'un, y compris à leur avocat, pour signer la convention de divorce par consentement mutuel à leur place (Article 229-1 du Code civil).

La loi exige la présence physique et simultanée des deux époux et de leurs deux avocats lors de la signature de la convention. Cette exigence vise à garantir le caractère personnel du consentement donné par les époux et à prévenir toute contrainte ou vice de consentement.

3. Faut-il envisager une signature dans un consulat français à l’étranger (avec la présence des deux avocats) ou une autre solution pratique ?

Ceci n'est pas une solution viable.

Un consulat français peut authentifier des signatures, mais il ne peut pas accueillir la signature d'une convention de divorce par consentement mutuel amiable au sens de la loi française. La loi exige la présence des avocats, qui sont des professionnels du droit français exerçant sur le territoire français.

Il est impossible pour les deux avocats de se déplacer dans un consulat à l'étranger pour cette signature, car leurs offices et leur compétence territoriale sont en France métropolitaine ou d'outre-mer.

Ce que cela signifie pour vous et votre conjoint :

Compte tenu de ces contraintes légales strictes :

Le délai de 15 jours est incompresssible.

La présence physique de votre conjoint (et la vôtre, et celles des deux avocats) est obligatoire au même moment et au même lieu pour la signature.

Aucune procuration ni signature à distance n'est autorisée.

Si votre conjoint quitte définitivement la France le 15 août, la seule solution pour que ce divorce par consentement mutuel puisse se faire avant son départ est que :

La convention finale soit rédigée et envoyée à chacun d'entre vous au plus tard le 31 juillet. (pour que le délai de 15 jours s'achève le 14 août au soir).

La signature physique ait lieu au plus tard le 14 août.

Si cette timeline est impossible à tenir, vous avez deux options :

Option 1 : Votre conjoint décale son départ. C'est la solution la plus simple si vous souhaitez absolument un divorce par consentement mutuel sans juge. Il devrait rester en France jusqu'à ce que la signature soit possible.

Option 2 : Envisager une autre forme de divorce (si le départ ne peut être décalé).

Divorce pour acceptation du principe de la rupture du mariage (ex-divorce accepté) : Cela se ferait devant le Juge aux Affaires Familiales. Dans ce cas, les époux sont d'accord sur le principe du divorce, mais pas forcément sur toutes ses conséquences. Le juge homologuera les points d'accord et tranchera les désaccords. L'avantage est que votre conjoint n'aurait pas à être physiquement présent pour toutes les étapes, mais cela peut être plus long et plus coûteux, et le recours à un avocat reste obligatoire.

Divorce pour altération définitive du lien conjugal : Si vous vivez séparés depuis plus d'un an, un seul époux peut le demander. Votre conjoint pourrait alors être représenté par son avocat. Mais c'est une procédure contentieuse, plus longue et potentiellement plus tendue.

Le divorce par consentement mutuel sans juge est la voie la plus rapide et la moins coûteuse quand les époux sont d'accord sur tout. Cependant, elle est soumise à des règles de formalisme très strictes, notamment la présence physique et le respect du délai de réflexion.

Discutez-en très clairement avec votre avocat pour évaluer la faisabilité du calendrier et les alternatives si le départ de votre conjoint est non négociable.

Merci d’indiquer que j’ai répondu à votre question en cliquant sur le bouton vert de ma réponse.
celia
Maître,

Merci beaucoup pour votre retour détaillé et vos explications très claires concernant les obligations légales et le calendrier impératif du divorce par consentement mutuel.

J’ai bien noté :

-l’impossibilité de raccourcir le délai de réflexion de 15 jours (art. 229-4 C. civ.) ;

-l’obligation de présence physique des deux époux pour signer la convention, sans procuration possible (art. 229-1 C. civ.).

Conséquences sur mon titre de séjour « Vie privée et familiale — conjoint de Français »

Je suis ressortissante hors-UE, et je détiens ce titre jusqu’en mars 2026

Si la communauté de vie cesse avant la demande de renouvellement, quels sont les risques concrets de retrait ou de refus à la préfecture ?

Existe-t-il un changement de statut (salarié, parent d’enfant français, etc.) que je devrais anticiper, et à quel moment l’envisager ?

Ces informations me permettront de prendre la meilleure décision et de m’organiser, tant sur le plan administratif que personnel.

Je reste bien entendu disponible pour fournir tout document ou précision supplémentaire afin de faciliter l’avancement du dossier.

Je vous remercie encore pour votre disponibilité et votre réactivité.

Merci par avance
il y a 2 jours
Votre situation est effectivement délicate et complexe en raison du départ imminent de votre conjoint et de votre statut de ressortissante hors-UE. Abordons chaque point synthétiquement et de manière argumentée.

1. Délai de rétractation de 15 jours : peut-on l'écourter ou l'anticiper ?

Non, il n'existe aucune dérogation ou moyen légal d'écourter ou d'anticiper le délai de rétractation de 15 jours.

Argumentation : Ce délai de 15 jours est un délai légal d'ordre public, inscrit à l'article 229-4 du Code civil. Il est impératif et a été instauré pour garantir la liberté du consentement des époux. Il permet à chacun des époux de bien réfléchir à leur engagement avant de signer la convention de divorce.

Conséquence : La loi ne prévoit aucune exception, même en cas de départ à l'étranger ou d'urgence. Le respect de ce délai est une condition de validité du divorce par consentement mutuel par acte d'avocat. Sans cela, la convention ne pourrait pas être déposée au rang des minutes du notaire.

2. Signature à distance ou par procuration après le départ du conjoint ?

Non, la signature à distance (visioconférence ou électronique) est interdite pour le divorce par consentement mutuel par acte d'avocat, et la procuration est également prohibée pour l'époux.

Argumentation : L'article 229-4 du Code civil et l'article 1145 du Code de procédure civile exigent la présence physique et simultanée des deux époux et de leurs avocats pour la signature de la convention de divorce. Cette exigence de présence physique est fondamentale pour s'assurer du consentement libre et éclairé de chacun des époux, et pour permettre aux avocats de s'assurer que leurs clients ont bien compris les termes de l'accord.

Procuration : La présence personnelle des époux est impérative. Un époux ne peut pas donner procuration à son avocat ou à un tiers pour signer la convention de divorce.

Conséquence : Si votre conjoint quitte la France le 15 août, la signature de la convention de divorce par consentement mutuel ne pourra pas avoir lieu en France après cette date. Le processus classique de votre cabinet est donc le bon, mais il requiert la présence de votre conjoint.

3. Signature dans un consulat français à l'étranger (avec les avocats) ou autre solution pratique ?

Non, la signature dans un consulat n'est pas une option pour la convention de divorce, car elle requiert la présence des avocats qui ne peuvent pas officier à l'étranger.

Argumentation : Les consulats français peuvent établir des actes notariés ou civils pour les Français à l'étranger, mais le divorce par consentement mutuel par acte d'avocat exige la présence des avocats, qui sont habilités à exercer sur le territoire français. Le notaire dépositaire de l'acte doit également être en France.

Solutions pratiques possibles (très contraintes) :

Anticiper au maximum : Si le projet de convention peut être rédigé et communiqué aux époux rapidement, la signature pourrait avoir lieu juste avant le 15 août, à condition que les 15 jours de rétractation aient pu s'écouler. Cela est très difficile vu la contrainte de temps (moins de 2 mois).

Retour ponctuel du conjoint : Si la procédure n'est pas finalisée avant le 15 août, la seule solution pour un divorce par consentement mutuel amiable serait que votre conjoint revienne ponctuellement en France pour la signature de la convention après l'expiration du délai de 15 jours.

Changer de procédure (divorce judiciaire) : Si la signature amiable est impossible avant le 15 août et que le retour n'est pas envisageable, il faudra envisager un divorce judiciaire (contentieux). Dans ce cas, un époux peut saisir le Juge aux Affaires Familiales (JAF) en l'absence de l'autre. La procédure est plus longue et peut être plus coûteuse, mais elle ne nécessite pas la présence simultanée des deux parties à toutes les étapes, notamment la première audience (requête initiale). Votre avocat pourra gérer la procédure même si votre conjoint est à l'étranger.

4. Risques de retrait ou refus du titre de séjour si la communauté de vie cesse avant le renouvellement

Oui, le risque est concret et élevé si la communauté de vie cesse avant la demande de renouvellement ou le renouvellement effectif de votre titre de séjour "vie privée et familiale".

Argumentation : Votre titre de séjour "vie privée et familiale" est basé sur votre mariage avec un Français. La condition essentielle de ce titre est la persistance de la communauté de vie affective et matérielle.

Loi et jurisprudence : Si la communauté de vie prend fin (séparation, divorce), les fondements de votre titre de séjour disparaissent. La préfecture est en droit de refuser le renouvellement, voire de retirer le titre en cours de validité si elle a connaissance de la cessation de la communauté de vie (article L. 423-1 du CESEDA).

Conséquence : Votre titre est valable jusqu'en mars 2026. Si le divorce est prononcé ou que la séparation est avérée avant cette date, et surtout avant votre prochaine demande de renouvellement, votre situation administrative pourrait devenir très précaire, menant à un refus de renouvellement et potentiellement à une OQTF.

5. Anticiper un changement de statut

Oui, il est crucial d'anticiper un changement de statut dès maintenant, sans attendre l'expiration de votre titre actuel si la communauté de vie cesse.

Argumentation : Puisque votre titre actuel est lié à votre mariage, vous devrez en solliciter un nouveau sur une autre base légale si le mariage prend fin ou si la communauté de vie cesse.

Quand l'envisager : Dès que la communauté de vie cesse ou que la procédure de divorce est lancée, vous devez commencer à préparer un dossier pour un autre statut.

Statuts à anticiper :

Titre "salarié" : Si vous avez un contrat de travail stable (CDI ou CDD long) avec un salaire suffisant et correspondant à votre qualification, c'est une option solide. Vous devrez faire une demande de changement de statut.

Titre "vie privée et familiale" pour motifs exceptionnels : Il s'agit d'un titre accordé sous conditions si vous avez des liens personnels et familiaux intenses en France (longue durée de séjour, intégration, absence d'attaches dans votre pays d'origine, état de santé, etc.). Votre avocat devra argumenter en détail votre situation. Votre parcours antérieur (visa étudiant, diplômes) peut être un atout.

Titre "parent d'enfant français" : Si vous aviez un enfant français (ce qui ne semble pas être le cas ici), ce serait une option forte.

Conseils et Organisation

Parlez Immédiatement à vos avocats : Exposz-leur clairement la contrainte du 15 août. Ils sont les seuls à pouvoir vous guider dans le processus légal. Si le divorce par consentement mutuel n'est pas possible, ils devront initier une procédure contentieuse.

Documentez tout : Conservez toutes les preuves de votre séjour, vos diplômes, votre intégration, et, si possible, les preuves de vos recherches d'emploi ou de votre situation professionnelle actuelle.

Anticipez le changement de statut : Dès la cessation de la vie commune, informez-vous sur les démarches et les pièces à fournir pour un changement de statut. Le fait d'avoir déjà un projet professionnel ou une situation solide facilitera les choses.

La situation de votre titre de séjour est la plus précaire. Il est impératif d'anticiper la rupture de la communauté de vie pour ne pas vous retrouver en situation irrégulière.

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il y a 2 jours
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