Merci de votre réponse Maître.
Je subis un tas de tension sous un climat délétère ... Lors de la fusion acquisition de mon ex boîte où j’etais Hôtesse secrétaire, je suis la seule salariée dont le poste a été supprimé. Le groupe acheteur plus de 2400 salariés avec 500 millions d’euros de chiffres d’affaires me reclasse en ne respectant le choix de mon poste après leur 3 propositions ni le service. Je suis alors parachutée dans un poste non choisi « gestionnaire frais de santé » et au bout d’un mois, alors que je suis en formation/apprentissage, je subis le pressurise de mon N+1, des procédés d’intimidation, avec pour preuves nos échanges de mails (ton méprisant) surtout après le compte rendu d’entretien mensuel.
Il en a découlé un long arrêt maladie 7 mois. A ma reprise de fonction en Septembre il a repris son comportement et propos constitutifs de harcèlement moral à mon égard. Les preuves sont donc les mails et avec un peu de chance le témoignage d’un collègue...
Eu égards des préjudices subis surtout celui moral, sur quelle somme puis je signer la rupture conventionnelle ?
Si on va aux prudhommes, je sais que la somme se fera à l’appréciation du juge. Y a t il un maximum fixé ,
Merci de m’eclairer à ce sujet.
Bien cordialement
il y a 5 ans
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