Bonjour
Dans votre situation, il est essentiel de bien comprendre les implications du Contrat de Sécurisation Professionnelle (CSP) et les options qui s'offrent à vous :
1- Que se passe-t-il si vous acceptez le CSP ?
Vous bénéficiez d'une dispense de préavis, même si vous êtes cadre. L’employeur vous verse une indemnité équivalente à ce que vous auriez perçu pendant le préavis.
Vous êtes pris en charge par Pôle Emploi dans le cadre du dispositif du CSP, avec un accompagnement renforcé et une indemnisation spécifique.
Cela vous permet de commencer votre nouveau poste dans l'Éducation nationale le 2 septembre, sans contrainte liée au préavis.
2- Et si vous refusez le CSP ?
Le licenciement économique suit son cours normal.
Vous êtes tenu d’exécuter votre préavis de trois mois, ce qui risquerait de compromettre votre nouvelle embauche.
3- Quelles sont vos alternatives ?
Voici quelques pistes à envisager :
Accepter le CSP avant le 21 juillet et rompre celui-ci d’un commun accord avec Pôle Emploi, une fois votre contrat dans l'Éducation nationale signé. Cela permettrait d’éviter le préavis tout en prenant le nouveau poste.
Négocier avec votre employeur une dispense de préavis en cas de refus du CSP. Ce n’est pas obligatoire pour lui, mais certains employeurs acceptent pour faciliter le départ du salarié.
Demander à décaler le début de votre nouveau poste, si cela est envisageable, pour permettre l’exécution partielle du préavis.
Dans la majorité des cas, accepter le CSP semble être la solution la plus souple pour éviter le conflit de calendrier
Je reste à votre disposition pour vous conseiller et vous assister.
Merci d’indiquer votre préoccupation comme résolue en cliquant sur le BOUTON VERT.
il y a 3 jours
je croyais qu'en cas de CSP les indemnités étaient versées à france travail ?
il y a 3 jours
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