Bonsoir,
C'est à votre avocate de vous aider à calculer ce montant de prestation compensatoire.
La prestation compensatoire concerne uniquement les époux. Plus précisément, celui qui a des revenus « bien inférieurs » à ceux de son conjoint pendant le mariage. L’idée est de compenser la perte de son niveau de vie suite au divorce. C’est l’exemple typique d’une femme qui s’arrête de travailler pour s’occuper de ses enfants pendant le mariage et qui se retrouve sans revenus après le divorce.
La prestation compensatoire n’est pas obligatoire.
Il faut :
1) que l’un des époux la demande à son conjoint qui l'accepte, dans le cadre d’un
divorce amiable, ou au juge dans le cas d'un divorce contentieux. Le juge peut aussi la prévoir d’office.
2) qu’il y ait de fortes disparités financières entre les époux. Dans les procédures contentieuses (où les époux ne sont pas d’accord sur le principe et/ou le montant de la prestation compensatoire), le juge observe plusieurs critères, notamment les revenus de chaque époux, la durée du mariage, l’âge des époux, leurs droits respectifs à une pension de retraite, etc.
Les disparités dans les conditions de vie sont observées au jour du divorce et non de la séparation de fait.
Quel que soit le type de divorce, les époux doivent faire une déclaration sur l’honneur de l’exactitude de leurs ressources, de leur patrimoine et de leurs conditions de vie. Pour les divorces à l'amiable, cette attestation doit être jointe à la convention de divorce. Pour les autres, elle est jointe à l’assignation.
Le montant de la prestation compensatoire dépend de la différence de revenus entre les époux, de la durée du mariage, de l’âge des époux, et de leurs droits respectifs à la retraite. Il n'existe pas de barème obligatoire, mais une méthode indicative pour déterminer le montant de la prestation mise à disposition des juges et des époux depuis décembre 2013.
L’objectif est d’harmoniser la pratique comme pour la fixation des pensions alimentaires pour laquelle il existe aussi une grille de référence indicative.
La prestation compensatoire n’est pas obligatoire.
Il faut :
1) que l’un des époux la demande à son conjoint qui l'accepte, dans le cadre d’un divorce amiable, ou au juge dans le cas d'un divorce contentieux. Le juge peut aussi la prévoir d’office.
2) qu’il y ait de fortes disparités financières entre les époux. Dans les procédures contentieuses (où les époux ne sont pas d’accord sur le principe et/ou le montant de la prestation compensatoire), le juge observe plusieurs critères, notamment les revenus de chaque époux, la durée du mariage, l’âge des époux, leurs droits respectifs à une pension de retraite, etc.
Les disparités dans les conditions de vie sont observées au jour du divorce et non de la séparation de fait.
Le montant de la prestation compensatoire dépend de la différence de revenus entre les époux, de la durée du mariage, de l’âge des époux, et de leurs droits respectifs à la retraite. Il n'existe pas de barème obligatoire, mais une méthode indicative pour déterminer le montant de la prestation mise à disposition des juges et des époux depuis décembre 2013.
L’objectif est d’harmoniser la pratique comme pour la fixation des pensions alimentaires pour laquelle il existe aussi une grille de référence indicative.
Si la question est résolue, merci de l'indiquer