Bonjour,
Ma mère a annoncé a mon père en mars qu elle souhaitait divorer. Elle est depuis en échange avec son avocate pour préparer la proposition qui sera faite a l epoux.
Ce dernier a quant a lui fait une demande de pension alimentaire, précisant qu il etait dans une situation financière dramatique.
Il vit toujours au domaine familial et n a plus de revenu depuis octobre 2021, suite à des soucis de santé et a une situation administrative qui n étais pas a jour (pour lui permettre de percevoir le chômage)
Son épouse assume alors l intégralité de leurs charge, sans lui demander de l argent, connaissant sa situation financière. En plus de leurs charges, elle rembourse un crédit plus de 400 euros par mois. Elle a appris l existence de de crédit par la venue d un huisier. L epoux avait reçu en 2019 un trop perçu de 11 999,94 euros de sa boîte d intérim. Il a visiblement utilisé une bonne partie de cet argent - pour lui - et a du prendre un prêt pour rembourser. Seulement, il n avait plus eu les moyens de rembourser et a cacher cette situatiin a son épouse (jusqu'a la venue du huissier ou l épouse n a pas eu le choix de reprendre le dossier - il y a eu une "majoration" de 3000 euros a payer de suie).
L epoux est actuellement logé, nourri, blanchi et a l accès à l ensemble des pièces communes et du terrain.
Mon oncle maternel et ma grand mère maternelle vivent également au domaine. Mon oncle fait les courses toutes le semaines et ma grand mère prépare les repas des midi et soirs, toute la semaine . L epoux mange avec eux tous les jours, midi et soir.
L epoux est en capacité de se payer 2 a 3 paquets de cigarettes par jour, tous les jours (paquet de 30 cigarettes) et de se déplacer en voiture de 1 à 3 fois tous les jours de la semaine, faire des réparations sur sa voiture... pour ce que nous en savons, ses soeur lui donnent de l argent (1500 euros mi avril, 950 euros en mai - et entraînement plus). Il n a d ailleurs jamais reclamé d argent a son épouse (a part donc la demande de pension). Il était en sevrage d alcool et de cigarettes depuis son incident d octobre. Il savait qu on lui refuserait (et son unique besoin d argent reste pour ses 900 euros de cigarettes par jour - pour l alcool, nou ne pouvons prendre aucun risque qu il puisse en re boire. Très dangereux pour lui). Il a failli mourir et sa femme, par un massage cardiaque, l a maintenu en vie jusqu a l arrivée du samu (c est le samedi qui a confirmé que l épouse lui avait sauvé la vie. Ce n et as une interprétation des gens présents lors de l jncident)
Il devait recevoir un reliquat de plusieurs mois de pôle emploi mais nous ne savons pas si il a perçu cette somme. Nous avons pu voir un courrier hier de pôle emploi adresseé a l epoux : il s agit d un refus de pôle emploi d effacer une dette de 900 euros.
On est et restera dans le flou de sa réelle situation.
Pour revenir sur la demande de pension : leurs avocats se sont parlés au téléphone et l avocat de mon père a confirmé ne pas donner suite à cette demande (il n avait aucun élément. L avocate de l épouse lui a alors donné une visibilité sur la rellee situation)
Plusieurs semaines après, l epoux confirme a son épouse que son avocat a porté la demande au JAF et qu elle recevra une convocation.
L epoux confirme maintenant, oralement et par écrit qu il ne mange pas, qu il n a qu un petit espace autorisé e vie. Il précise qu il a besoin de colis alimentaire de ses sœurs pour survivre...
Ma première question est : les ascendants et descendants peuvent ils temoigner de ce que nous avons pu constater h quotiien (juste pour démontrer qu'il n est pas maltraité et belet bien logé, nourri, blanchi ) ? N étant pas sur une démarche de séparation ou de
divorce, avons nous le droit ?
Ma seconde question : y a aura t il une enquête social pour vérifier si sa demande est justifiée ? Si oui, l étude des comptes en banque seront ils regardés/étudiés ?
Merci de vos réponses